le blog bdsmfetichoutaouais

Il existe plusieurs manières pour jouer avec la cire de bougie.

Faire couler la cire sur le corps nu
Suivant le modèle de bougie et la hauteur, les effets peuvent varier. Plus le modèle de bougie est large, plus important pourra être le flux de cire. Plus vous versez de haut moins c'est douloureux.
Pour enlever la cire, certain laisse faire leur soumis(e) ; d'autres, plus "hards" préfère faire sauter les traces de cire à la cravache, au martinet ou au fouet.

Se servir de votre soumis(e) comme porte bougie
Servez-vous des différents orifices de votre soumis(e) pour supporter quelques bougies. Non seulement vous ferez des économie d'énergie, mais voire cette flamme trembler au moment où la cire coule sur la peau est du plus bel effet.
Attention aux bougies à la cire d'abeille qui dégagent une chaleur élevée.

La fessée est un travail de base qui consiste à bien rougir le cul de votre soumis(e). Si la fessée à main nue finit par être pénible, les pads et autres raquettes pourront soulager votre main. Cette pratique s'administre dans différentes positions avec ou sans bondage.

Dans tous les cas, rythme, pauses, attente et progression seront les maîtres mots afin de toujours évoluer entre la douleur et le plaisir qui en fin de compte ne font plus qu'un.

Selon-nous la pratique de la fessée doit entrer dans un cérmonial où la position des participants a son importance. Le fesseur et la personne fessée adoptent des positions qui facilitent les choses et sont plutôt à l'avantage du fesseur.

Le fesseur y trouve les avantages suivants :

Le confort. Qu'il soit assis ou debout, le fesseur s'installe confortablement afin de pouvoir soutenir une longue fessée sans peiner. De même, le bras doit pouvoir bouger naturellement et atteindre la cible sous le bon angle.
La force. Bouger son bras avec naturel et atteindre la cible sous le bon angle permet d'appliquer les claques avec vigueur. Debout, le fesseur peut en plus pivoter sur lui-même afin de dlivrer le maximum d'énergie.
Le libre accès aux fesses. La position de la personne fessée est destinée à exposer largement son derrière, la position relative du fesseur, elle, place les fesses sous le bon angle et la bonne hauteur. Dès lors, le fesseur est capable de voir, taper, caresser et fesser.
La scurité. Dans la bonne position, le fesseur peut agir sous le bon angle et mieux apprécier et adapter la vigueur de ses actes.
Le contrôle. La position du fesseur lui donne la possibilité de mieux contrôler son sujet. Il se tient, assis ou debout, au-dessus et peut facilement le contraindre et le repositionner.
La personne fesse ressentira les effets suivants :

Confort relatif. il est important que la personne fessée soit dans une position relativement confortable afin de pouvoir se concentrer sur les sensations infligées à son postérieur.
L'anticipation. Se plier et attendre en position afin d'avoir les fesses correctement positionnées signale le début de la fessée avant même la premire claque.
Les sensations. Une paire de fesse bien positionnée tendra à être plus durement et plus complètement traitée.
L'humiliation. Être mis en travers des genoux est une position humiliante et infantilisante. Avoir à subir cette position est humiliant dans la mesure où elle montre d'une part la soumission et d'autre part que l'on va être fessé.
L'exposition. Les fesses bien positionnées sont complètement exposées. Les joues sont bien présentées et ouvertes, leur face interne en l'air. Dans le cas d'un homme, l'anus et l'arrèire du scrotum sont exposés. Les femmes sont plus exposées, leur rectum et leur vulve sont complètement visibles.
Concentration sur les fesses. La personne fessée concentre son attention sur ses fesses exposées et tournées vers le fesseur.
Présentation des fesses. Les fesses ne sont pas seulement exposées, elles sont volontairement présentées pour la punition comme un condamné place sa tête sur le billot, sans moyen d'échapper aux claques.
Soumission. Se placer en position est, pour le fessé, le premier acte de soumission en ce qui concerne la fessée.
Sécurité. Il est quelque peu réconfortant pour la personne fessée de savoir que la position adoptée exclut les blessures, même s'il est déconcertant de constater que la personne fessée se livrera mieux sachant cela.
La perte du contrôle. Une fois en position, la personne fessée a renoncé à contrôler la situation jusqu'à ce que le fesseur ait terminé. La personne fessée doit difficilement pouvoir soustraire son postérieur du traitement qui lui est imposé
La difficulté de serrer les fesses. Une fois dans la bonne position, il est plus difficile de serrer les fesses pour atténuer les sensations et l'impression d'exposition. Ainsi, la fessée peut être appliquée sur une paire de fesses détendues et rebondissantes.
Le coup d'oeil. Du point de vue de l'amateur des fesses, il y a peu de moments où quelqu'un à l'air aussi adorable que quand il est en position d'être fessé. Ca n'est pas seulement la mise en valeur des fesses, mais la ligne gnérale et le côté sexy de la position. La position de la personne fessée doit être sexy, même pour quelqu'un qui n'est pas 'branché' fessée.

La croix a une signification très forte dans le BDSM.
En effet, elle symbolise l’esclave que l’on attache, que l’on supplicie, que l’on utilise à volonté.

Dans les pratiques SM, on utilise ce que l’on appelle la croix de St André, qui permet d’écarteler son esclave jambes et bras écartés, pour qu’il soit complètement à disposition. Elle a la forme d’un X. Elle permet ainsi la flagellation, le travail des seins, mais aussi l’excitation sexuelle.

Est que l’origine du nom St André vient de cette église anglaise où l’on retrouve dans les vitraux un motif représentant une croix faite d’une lance et d’une canne ? Je ne sais pas, mais l’idée est plaisante !

La croix de St André est un des premiers équipements dont sont pourvus club SM et donjons. Elles sont généralement en bois (très Inquisition !) et comportent aux extrémités des anneaux qui permettent de passer les liens.

Sinon, la crucifixion peut bien entendu avoir lieu sur des crois en T, en Y, ou des potences
Crush

Forme ultime du masochisme, le crush consiste à fantasmer sur les talons hauts qui nous écrabouillent . On est bien peu de choses.



Pourquoi ?
Lancé par Jeff Vilencia dans les années 80, le sacrifice animal est une forme de rituel cathartique : en filmant des femmes en train d'écraser des vers de terre à pieds joints, de les faire exploser à coups de semelle, les réduire en bouillie, les anéantir, l'homme se défoule. C’est vrai que ça fait du bien. Un seul problème : une loi américaine passée en 1999 interdit la torture animale.



Comment ?
Les adeptes du crush aiment les femmes en chignon strict qui tiennent d’une main un homme en laisse et de l’autre une paire de talons aiguilles pour leur en frapper le derrière. Ils rêvent d’être un paillasson. A défaut, ils regardent des images où de belles dominatrices passent leurs nerfs à coups de pieds sur quelques êtres virils et rampants. Traduction : je suis un misérable vermisseau.