Concours

Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 20:24
Il semblait tout d’abord évident que dans l’imagerie générale du hard, les sévices corporels tiennent le haut du pavé. Suivi de prés par tout ce qui touche à l’entrave : BONDAGE, MENOTTES, LIENS, MOMIFICATIONS, etc… La troisième grande ligne étant le rapport dominant dominé avec toutes ses variantes et implications.

Dans l’esprit de beaucoup, adeptes ou non de ce genres de pratiques, le SM c’est d’abord l’idée d’un corps soumis à la souffrance et d’un maître qui inflige cette souffrance.

Naturellement cette dernière prendra tous les aspects possibles et imaginables : bougies, aiguilles, pinces, électricité, scarification, brûlures, et bien entendu la flagellation.

La flagellation qu’est ce que c’est ?

Ce mot du 14 éme siècle, vient de la famille latine de FLAGRUM signifiant fouet à plusieurs lanières garnies de boutons de métal et d’os. Dans la même famille on trouve le mot FLAGELLUM : fouet plus petit et cinglant.

Le mot fouet quant à lui est un mot du 13 éme siècle, qui vient du latin FAGUS, le hêtre, et signifie verge de hêtre.

A noter que le mot fléau, instrument pour battre le blé, a la même racine ; ainsi que le mot fêlure qui signifie littéralement trace de fouet.

Il est intéressant de noter que déjà dans le latin ecclésiastique, le mot fléau signifie aussi, châtiment envoyé par DIEU.

On le voit donc, la flagellation inclus l’idée d’instrument, de mouvement, et d’action. On pourra donc fouetter son partenaire avec toutes sortes d’ustensiles : fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, paddles, battes, …la liste n’est pas exhaustive et laisse libre cours à votre imagination.

Les gifles et les fessées même si elles peuvent faire partie intégrante d’une bonne flagellation font souvent l’objet d’une séance à part entière et nécessitent une technique qui leur est propre. Nous ne ferons que la survoler ici.

Si l’on essaie de dresser un arbre généalogique de la flagellation, on se rend vite compte que cette pratique a dans l’histoire trois grandes utilisations:

On trouvera bien sûr une interconnexion entre la religion et la punition.

Mais je vous rassure, l’homme a toujours su se servir de son imagination et de son environnement pour son plaisir. C’est pourquoi, une quatrième utilisation de la flagellation, sexuelle cette fois, apparaît en filigrane tout au long de l’histoire, et ce dés le Kama Sutra. Elle n’est cependant un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé que depuis le 17 éme siècle.

Religieusement, la flagellation est utilisée souvent pour atteindre des états de transe. Les chaman par exemple considèrent que c’est un excellent moyen de se perdre soi-même afin d’entrer en contact avec Dieu. Lors de cérémonies ou de rites, on utilise la flagellation afin d’attirer l’attention des divinités ou de rendre les femmes fertiles. Le culte de diane chasseresse par exemple donnait lieu à de véritables concours de fouet.

Les missionnaires quant à eux ont allègrement utilisé le fouet en Afrique, au Mexique ou au Paraguay, afin de forcer les populations à se convertir.

Médicalement on a fouetté les fous entre le 17 et le 19 éme siècle. A Rome, le culte de Junon demandait à se que l’on fouettât les femmes pour lutter contre leur stérilité. Et d’une façon plus général on a longtemps cru que la flagellation aidait à lutter contre l’impuissance.

On a souvent utilisé le fouet en guise d’électrochoc pour « réveiller » un malade ou une personne dérangée.

Dans l’armée, dans la police, dans la marine… on a également largement utilisé la flagellation. Les mutineries étaient punies par le fouet ainsi que les manquement à la règle. On recourait également au fouet pour faire des exemples. Pour calmer des ardeurs belliqueuses ou des récalcitrants. Des déserteurs furent fouettés ainsi que des soldats en cas d’échec de leur mission.

La police s’en servait régulièrement pour punir des fautes ou faire parler des suspects. Il n’était, par exemple, pas rare d’attacher une prostitué nue sur un âne. On lui faisait faire tout un périple jusqu’à la prison, périple au cours duquel la population était libre de la frapper. Enfin, une des applications les plus répandue était sans conteste la torture. A ce propos, il faut noter que très tôt on a su que certains bourreaux pouvaient retirer du plaisir à molester leurs victimes et des ordonnances spéciales, du moyen - âge au 18 éme, ont réglementé les séances de tortures. Certains bourreaux furent même à leur tour punis pour avoir commis des excès.

Quant à l’interconnexion entre le religieux et le punitif, les exemples ne manquent pas. Tantôt les moines ou tout abstinent se flagelle pour chasser les ardeurs ,chaleurs et autres montées de sève. Tantôt il se mortifie pour chasser de vilaines pensées. Il se flagelle pour expier une faute commise ou pour se punir de ses péchés. Parfois c’est l’inverse et ce sont les paroissiens qui se font frapper. Des exemples de nonnes dévêtues puis battues sont répertoriés. Plus généralement, on recherche la mortification de la chair, dans une recherche mystique, afin de ressentir les douleurs du christ, et de se rapprocher de dieu.

Quelque soient les causes, les pratiques et les alibis dans ces quatre catégories, elle démontre une chose évidente : L’union du corps et de l’esprit. Si on cherche à punir l’un c’est pour faire entendre raison à l’autre. Si l’on meurtri le corps c’est pour pousser l’esprit plus loin. Si l’on violente le corps, c’est pour que l’esprit réagisse. Le principe est fort simple : agir de façon à souder le corps et l’esprit, en les amenant à se dépasser, à se stimuler l’un l’autre. Les informations de douleur physique transmises au cerveau agissent comme des détonateurs qui forcent la pensée à avancer, celle ci à son tour transmet au corps l’ordre d’endurer et de résister…

C’est cette alchimie qui nous intéresse quand on parle de SM et de flagellation. Que votre relation soit physique ou très psychologique, le rapport corps/esprit est à la base de tout. Si par exemple vous décidez d’attacher votre partenaire et de laisser seul, pendant X temps, totalement isolé, son confort physique interviendra à coup sûr dans sa capacité de résistance et par delà dans le plaisir qu’il prendra à ce jeu. Et bien avec le fouet c’est la même chose. Les premières impressions sont toujours la morsure, la douleur, et puis l’on décide d’endurer, d’avancer, de se motiver pour aller plus loin. On habitue son corps et donc sa pensée, on trouve son confort , on cherche à se surprendre, à surprendre le fouetteur. Plus vous recevrez de coups plus votre esprit s’affolera, analysera, travaillera et plus vous irez Loin physiquement. Le secret résidant bien évidemment dans la manière dont vous êtes fouettés. Le dépassement de soi, l’extraordinaire magie qui transforme douleur en plaisir, la volonté de continuer à subir ou a frapper, plus longtemps, plus fort, Tout cela vous l’obtiendrez avec de bonnes séances, bien maîtrisées.

Ce phénomène est chimique. La capacité de supporter la douleur est directement liée à la quantité de substances organiques chimiques sécrétées dans le corps. Dés le début de la séance, en caressant, en pinçant délicatement la zone à fouetter on prépare le fouetté, à la fois physiquement et spirituellement. Cette période d’échauffement va aller en s’intensifiant afin de donner au cerveau du fouetté la possibilités de mobiliser le corps et de sécréter des neurotransmetteurs analgésiques ou euphorisants. C’est ce qui fait par exemple que l’on supporte mieux la douleur quand on approche de l’orgasme.

C’est cette notion de lien corps /esprit qui anime souvent les clients des prostitués, spécialisées dans le SM. Les soumis sont souvent des hommes d’affaire ou des gens à fortes responsabilités qui viennent se faire fouetter pour vider le stress de leur esprit, pour se calmer, se détendre.

Avant de passer à des notions plus pratiques, plus manuelles, je voudrai donner quelques conseils (liste non-exhaustive):

Eviter de vous lancer à corps perdu dans des séances de flagellation si vous êtes dans un égat second. Alcool ou drogue en trop grande quantité. Si chez certain cela a un effet anesthesian, chez d'autre cela peut être le contraire. La qualité des gestes est bien différentes selon notre fatique ou notre taux de substances variées dans le sang...

Convenez toujours d'un mot ou d'un geste pour arrêter le jeu, si nécessaire (voir safeword)

On ne tape pas sur son partenaire comme un abruti, c'est censé être un plaisir

A ce propos j’aimerai revenir sur l’idée de la flagellation dans le cadre d’une punition. Dans un rapport dominant/dominé. La séance ne doit pas être utilisé n’importe comment. Car elle doit répondre à la fois à sa fonction de prise de pouvoir sur l’autre et aussi à sa fonction de punition.

On fouettera pour mettre à sa botte et montrer qui est le maître. Mais on fouettera aussi pour punir l’esclave désobéissant. C’est pourquoi les coups ne seront pas les mêmes et les conditions de la séance changeront. On pourra être plus dur, verbalement par exemple, ou humilier davantage le dominé, en public pourquoi pas, dans le cadre d’une punition.

On n’utilise pas n’importe quel accessoire sans savoir si son partenaire va encaisser. Le chat à neuf queues par exemple, avec ses billes de métal au bout n’est pas un yoyo pour première communiante.

-Oui la peau ça marque.

-Oui le sang ça tache
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 20:22
Comme je vous l'avais dit, je pense qu'une fessée doit s'accompagner du maximum d'humiliation: tout d'abord, le futur puni doit le savoir largement avant afin de s'imprégner et de bien comprendre que la punition est inéluctable et qu'elle sera appliquée sans sadisme mais sans aucune faiblesse ni pitié.

Il faut être tout à fait claire et édicter distinctement que compte tenu de son attitude détestable, il recevra une fessée très rapidement ; vous devez prévenir votre future victime au moins 24 à 48 h avant le châtiment : la peur et la réflexion sont toutes deux excellentes conseillères !!!!

Une fois la décision prise et annoncée, les ordres devront être donnés de façon très ferme, sans crier mais ils sont définitifs et toute réflexion ou tentative de rébellion sera comptabilisée en plus de la punition: cela devra être je pense annoncé à part.

par exemple:

"Tu vas recevoir une bonne fessée pour t'apprendre à vivre. Ton insolence ou ta rébellion te vaudra xx coups supplémentaires qui te seront infligés à la fin de la punition principale. Plus un mot et exécution car sinon... "

L'instrument devra soit être prêt à servir dés que la date et l'heure prévue seront atteintes.

(Si la punition doit être infligée dans un autre endroit que la maison, il faudra faire transporter les instruments au puni : savoir que dans le sac qu'il porte se trouvent des engins qui vont lui rougir les fesses aura un effet extrêmement salutaire et ramollira si besoin en était toute velléité de rébellion)

Si la punition a lieu à la maison, soit le puni devra aller chercher le ou les instruments, soit ils seront en évidence posés prés du lieu choisi pour l'exécution.

Les instruments de la punition pourront être, au choix : martinet, twase, paddle, strappe, ceinture, lanière ou même, dans les cas graves cravache ou fouet…. Ou tout autre engin : je fais amplement confiance à votre imagination pour trouver d'autres outils de châtiment.

Avant de commencer la punition, il serait je pense de bon ton psychologiquement d'expliquer en détail au puni pourquoi il est puni, ce qu'il va recevoir, ce que mérite son ou ses attitudes etc...

En ce qui concerne la posture ou la position du puni à l'écoute de la sentence, ce sera je pense à votre convenance: les mains sur la nuque ou dans le dos, la tête baissée ou pas, à genoux ou debout etc...

De la même manière je ne sais pas s'il est besoin que le puni soit déjà en tenue pour sa fessée lorsqu'il écoute la sentence…je pense que non mais ça, cela ne dépend que de votre volonté.

Après l'exposé fait d'une voix calme et posée des motifs de la punition, vous devrez annoncer d'un ton définitif, le nombre de coups prévus et les instruments qui seront employés ; puis, il faut ordonner au patient de se mettre en tenue (si besoin) ou en place et lui expliquer très clairement la position désirée pour le châtiment: les mains, les bras, les jambes le torse, les reins cambrés ou pas, appuyé sur une table ou penché sur le dossier d'un canapé ou d'un fauteuil etc... Pensez à votre bien être, c'est cela qui compte afin que la punition soit distribuée sans fatigue ni gène.

Je suis persuadée qu'obliger le futur puni à se déculotter lui-même est extrêmement salutaire et surtout bien plus humiliant. A ce propos, ne faites pas enlever complètement son pantalon et son slip à votre futur puni : vous ne devez frapper que sur les fesses et de cette façon, le dos et les cuisses seront ainsi protégées…tout en vous permettant d'admirer le fessier de votre puni, bien mis en valeur par les vêtements toujours présents, encadrant et enluminant votre " cible ".

Il faut de même expliquer que toute tentative de protection des fesses par une ou des mains, que tout essai de se dérober, tout trémoussement obscène, tout changement de position vaudra à l'auteur un supplément gratuit... et non comptabilisé dans la punition elle-même; la punition prévue sera appliquée toujours jusqu'au bout, sans égard pour les plaintes geignements ou supplications du puni: ces plaintes peuvent même, si elles dépassent les bornes de la bienséance valoir à leur auteur une volée supplémentaire qui lui sera distribuée généreusement soit au cours de cette punition, soit lors d'une future fessée si vous pensez que les limites de votre puni sont atteintes…vous verrez c'est assez facile de savoir si votre puni a atteint les bornes supportables : Les cris et geignements changent, l'attitude est différente, les supplications ont un accent qui ne trompe pas ; ne vous laissez pas abuser par des larmes de crocodiles que certains punis savent faire couler rapidement et avec abondance : vous connaissez votre victime, soyez impavide et INFLEXIBLE : il vous remerciera pour cela, vous verrez…

Donc en résumé, une fois les limites atteintes, rajoutez tout de même quelques sévères cinglages (4 ou 5 ) afin qu'il comprenne bien que c'est sérieux…

Les coups seront donnés donc, régulièrement avec une force à peu prés égale et sans violence inutile ou déplacée: c'est une punition réelle, donnée parce qu'il le faut bien. Ce n'est pas un jeu : les coups seront appuyés et fermes.

Une fois la fessée terminée, le puni devrait être - selon la gravité des fautes reprochées - mis au coin, les fesses rougies exposées à la vue de son fesseur et des éventuels spectateurs. Les mains sur la nuque, il restera là en exposition pendant quelques temps, afin de méditer sur les conséquences de ses actes...

Lorsque l'exposition au coin se termine, le patient est invité à se reculotter; à ce moment, il peut être utile de le sermonner une nouvelle fois en lui expliquant bien que tout manquement ou toute insolence, toute attitude agressive ou tout mensonge, toute plaisanterie douteuse ou bêtise sera répercutée sur ses fesses sans haine mais sans aucune faiblesse: La gentillesse et la patience ont atteint leurs limites hautes: toute faiblesse sera désormais bannie et toute infraction sanctionnée puisqu'il ne comprend que la manière forte, celle-ci sera employée à chaque fois que cela s'avèrera nécessaire : c'est à dire souvent et sans faiblesse aucune.

Pour ne rien oublier des fautes ou infractions commises, il est conseillé de posséder un carnet dont il sera fait mention plus bas dans cette lettre.

Je pense qu'une punition de ce type se doit d'être infligée sans aucune entrave ni lien car le patient doit l'avoir soit réclamée, soit savoir tout au fond de lui qu"il mérite amplement cette fessée. Si vraiment il n'y a pas moyen de le faire rester tranquille sous la fessée, il faudra l'immobiliser et toujours lui infliger un surcroît de claques non comptabilisées dans la sentence: toute peine mérite salaire.

Une fois que le puni est en position, la fessée peut commencer. Les coups doivent tomber régulièrement non seulement sur toute la surface exposée mais aussi assez lentement afin que la douleur de chaque coup soit répercutée dans les fesses avant que le coup suivant ne tombe.. Pour accentuer son humiliation, vous pourriez lui demander de compter les coups d'une voix haute et intelligible : toute erreur, omission ou faute entraînant automatiquement la reprise au tout début de la punition.

Par contre, lors des suppléments, les coups peuvent être assenés plus vite mais tout aussi fermement.

Pour ce genre de punition, il peut être utile de posséder une espèce de petit carnet ou noter les lieux heures et infractions qui vaudront au puni de recevoir une nouvelle fessée. En effet on ne pense pas toujours à tout... Il faut que cette comptabilité soit claire précise et non abusive: des faits et attitudes ou réflexions qui VRAIMENT nécessitent punition.

De temps en temps, il faut faire le point avec ce carnet de notes et... agir en conséquence: cela permet de doser justement le châtiment du puni.

Une fois la punition finie, on n'en parle plus, on met le carnet à jour et on est reparti pour une nouvelle vie, sur des bases clairement définies et rappelées éventuellement lors de chaque séance de fessée. Le puni doit comprendre et savoir que certes il est châtié car il a été méchant, désobéissant ou insolent mais que vous ne faites que votre devoir : vous le faites sans haine mais fermement. Une fois la punition complètement subie, vous pardonnez : il faut le dire clairement de façon à ce que le puni sache que tout est oublié.

Je pense que le top de ce genre de séance c'est que le puni sache et demande sa punition: cela démontre de façon éclatante qu'il sait qu'il a mal fait et qu'il réclame son châtiment et comme chacun le sait... qui aime bien...
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 20:21
Si vous êtes un dominateur ou une dominatrice équipé le problème ne se pose évidemment pas, vous avez un donjon avec une croix de st André et/ou des anneaux fixés dans le mur…

Mais si vous vous rendez chez quelqu'un que vous voulez soumettre en l'immobilisant verticalement, et que rien n'est prévu pour ce genre de choses ? Les murs sont encombrés d'un tas de trucs, et de toute façon il n'entre pas dans vos intentions de lui démolir son appartement

Comment faire ?

Premier cas, vous avez amené un peu de matériel :

1 - Fixer 4 bracelets en cuir munis de clips à votre esclave : 2 aux poignets, 2 aux chevilles

2 - Choisissez l'une des portes de la pièce ou vous allez pratiquer la soumission

3 - Prenez une corde et fixez en l'extrémité sur la poignée de la porte (mais attention, la poignée EXTERIEURE à la pièce)

4 - Faites passer la corde par-dessus la porte

5 - Ordonnez à votre esclave de se mettre contre la porte et de lever les bras

6 - On va faire rejoindre l'autre extrémité de la corde aux 2 clips des poignets que l'esclave va joindre (une variante consiste à clipper préalablement les poignets à une barre d'écartement, il faudra alors fixer la corde au centre de la barre)

7 - On ne serre pas le nœud pour l'instant, il faut maintenant s'occuper des chevilles

8 - Pour les chevilles, pas besoin de corde, mais une barre d'écartement clippée sur les bracelets de chevilles

9 - Vous pouvez régler maintenant la corde, ( vous le faites comme bon vous semble, mais un bon réglage consiste à tirer vers le haut jusqu'à ce que l'esclave n'ait que la pointe des pieds en contact avec le sol) et la nouer !

10 - Votre esclave est maintenant attaché, il lui est impossible de se délivrer
Un avantage de cette pratique, c'est que si vous voulez le retourner afin qu'il vous présente ses fesses, il est très facile de le faire pivoter, sans avoir à le détacher…

Deuxième cas, la domination est tellement improvisée que vous n'avez aucun matériel. Il faut donc trouver des bricolages de substitution

1) Remplacer les 4 bracelets par de la ficelle, dont vous doublerez ou triplerez l'épaisseur, ces bracelets devront être bien serrés, mais devront malgré tout laisser passer la corde.

2) La corde peut être remplacée par de la corde à linge

3)On peut se débrouiller pour faire une barre d'écartement avec un rouleau à pâtisserie, un manche à balai, un tube d'aspirateur, ou si vous êtes à la campagne, un bon bout de bois !

4)On peut aussi par la même méthode, fixer l'esclave à l'envers (la tête en bas)…
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 20:19
Au préalable il y a deux conditions à respecter pour que la victime puisse apprécier son tourment
- La pression exercée sur chaque mamelon doit être exactement la même. Dans tous les cas où cette pression est réglable, il est indispensable que ce soit la victime elle-même qui mette en place le dispositif. Elle seule peut répartir les sensations comme il lui convient. La pression doit donner l'impression de s'exercer au même endroit sur les deux mamelons, et avec la même force. Or, parce que les sensations varient selon qu'elles émanent d'un côté ou de l'autre du corps, ni la force ni l'emplacement ne peuvent être établis d'une manière définitive.
- Toute pression intense exercée sur les mamelons doit être arrêtée IMMEDIATEMENT après l'orgasme, et comme les limites temporelles de celui-ci peuvent ne pas être absolument évidentes, il est indispensable de se fier aux indications de la victime.
En effet, par l'un de ces mystères de la nature, ce qui est très agréable peut brutalement devenir insupportable. La plupart d'entre vous savent de quoi je parle, mais ceux ou celles qui ne le savent pas doivent me croire sur parole qu'un mamelon soit plus pincé que l'autre ou que le pinçon dure au-delà du temps nécessaire et il n'y a plus aucun plaisir.
Evidemment, toutes les indications de cet article s'adressent à des personnes conscientes et responsables. Les brutes n'ont pas besoin de conseils pour exercer leurs méfaits!

Pour lier le mamelon
Utilisez toujours la boucle représentée, à l'exclusion de toute autre forme de ligotage. Ne faites JAMAIS de nœud autour du mamelon ! Les nœuds sont difficiles à défaire et il est important de pouvoir libérer le mamelon rapidement.

Ne liez jamais les mamelons plus de dix minutes !

Lorsqu'ils deviennent rouge sombre ou violet, il est temps de les libérer et de les masser doucement pour activer la circulation. Nul doute d'ailleurs que cette précaution attentionnée éveillera des sensations intenses chez votre partenaire !

La boucle présentée ici ne tient que par la tension de la ficelle. Dès que la tension est relâchée, la ficelle se détache. Il n'existe à notre connaissance aucun système assurant plus de sécurité.


La ficelle et les poids.
N'achetez pas des poids en sex-shop, vous allez les payer 10 fois leur prix ! Un poids c'est un poids, et les pinces à nappes munis de poids feront très bien l'affaire, en plus il y en a de très jolis !
Ce dispositif est extrêmement simple à réaliser et peut être utilisé soit pour maintenir votre partenaire en punition, soit pour la promener en vous servant des ficelles en guise de rênes.
Dans le cas de la punition immobile, passez les ficelles par-dessus un support spécial. Les poids sont à choisir selon les capacités de résistance de votre partenaire. Deux cents grammes par mamelon représentent déjà une performance qui n'est accessible qu'aux plus expérimentées!

N'attachez jamais les ficelles à un support fixe! Même dans le cas où votre victime est allongée ou immobilisée, un choc accidentel contre les ficelles peut avoir des conséquences catastrophiques!

Les pinces sont évidemment facultatives. Lorsqu'elles sont placées ainsi, elles arrêtent la circulation sanguine et il convient donc de ne jamais les laisser à la même place plus de dix minutes. Ajoutées progressivement pendant la montée du plaisir, elles provoquent une douleur tour à tour lancinante et brutale. Ainsi que nous l'avons expliqué plus haut, il convient de les retirer IMMEDIATEMENT après l'orgasme.


Une barre pour écarter
Ce dispositif n'est qu'une sophistication du précédent. Les seins se trouvent écartés par la barre et étirés en même temps. Il convient de faire extrêmement attention à ne pas heurter la barre lorsqu'elle se trouve en place, car les boucles des mamelons ne se détendent pas suffisamment si le choc frappe latéralement et la peau du mamelon (pour le moins) risque d'être arrachée!

L'étranglement des seins
Les dangers de l'étranglement du sein à sa base sont sans commune mesure avec l'étranglement du mamelon. Même lorsque le sein est très serré, le sang circule, lentement, mais il circule quand même. Il ne faut jamais étrangler fortement la base du sein plus de trente minutes.

Qu'il s'agisse de cordes ou d'une sangle de cuir ouverte et lacée, il est possible de serrer les seins jusqu'à ce qu'ils deviennent très durs, et ceci sans occasionner de douleurs insurmontables. En tous les cas, la souffrance reste toujours bien moindre que celle qui peut être infligée aux mamelons!


La presse-plateau
Voici un autre article simple permettant des utilisations très variées. Ceux qui apprécient à la fois les seins torturés, et les soubrettes stylées aimeront le fabriquer, à la condition évidente que leur partenaire soit dotée d'appas suffisamment généreux...

Bien entendu, les bordures doivent être parfaitement lisses. Si la presse doit être maintenue longtemps en place, il est même conseillé d'enduire de vaseline les deux bordures touchant le corps.

En raison du poids du plateau, il est fort conseillé de la soutenir, en particulier si la presse n'est pas très serrée, elle pourrait glisser et tomber en emportant la peau par la même occasion !

Il est possible de serrer étonnamment fort, d'une part parce que le serrage est toujours progressif, d'autre part, parce que la chair offre finalement suffisamment de résistance pour que la circulation ne puisse être gravement ralentie.
Ce type de presse englobant tout le sein fait ressortir les mamelons. Donc, si l'on veut utiliser en plus une ficelle pour lier les tétins, il faut éviter de la tendre trop, et surtout il ne faut jamais oublier de la détendre après cinq ou dix minutes, au maximum. La presse peut rester serrée plus d'une heure sans dommage notable sinon la souffrance de la victime...


Sur les pratiques à déconseiller
Les aiguilles : leur principal danger est le risque d'infection. A moins de procéder dans une salle d'opération et en respectant les mêmes précautions qu'une équipe chirurgicale, ces risques sont très élevés. La stérilisation de l'aiguille à la flamme est loin d'être suffisante, sans parler des blessures graves et des douleurs que vous pourriez provoquer.
L'électricité : Sachez qu'il est très dangereux d'appliquer un courant électrique sur toutes les parties du corps au-dessus de la ceinture, ainsi qu'au voisinage des principales veines et artères (c'est-à-dire en particulier sur les organes sexuels). D'autre part, le problème de l'électricité est celui de l'ampérage autant que du voltage. N'utilisez jamais un montage électrique branché sur le secteur (Signalons au passage que chaque année, un certain nombre de gens meurent électrocutés sur un siège de toilette muni d'un broyeur électrique...)
Quant aux barbelés et à la suspension par les seins, ils se passent, je pense de tous commentaires...

Soyez prudents et amusez-vous bien !

PS : cet article à été entièrement focalisé sur les soumis du sexe féminin. N'oubliant tout de même pas que ces messieurs ont eux aussi des tétons, souvent ultra sensibles, parfois très développés...

Vous aurez bien compris que il s agit d un article que j ai pris sur le Web

Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 20:18
Il faut avouer que la plupart des femmes apprécient un soupçon de brutalité de ce côté-là. Combien de mères ont laissé leurs enfants téter alors même qu'elle n'avait que peu ou pas du tout de lait ? Il y aurait un dossier à faire sur le masochisme de la maternité. Nous en reparlerons si ça vous intéresse. Mais, à toutes celles qui s'indignent des pratiques sado-masochistes, je demanderai de s'expliquer clairement sur la nature du plaisir qu'elles ont pris à gonfler pendant neuf mois avant d'être déchirées par l'évacuation d'un marmot bruyant qu'elles ont traîné ensuite pendant plusieurs années comme un boulet au pied. Certaines aiment ça, je sais, mais je n'accepterai leurs réflexions que lorsque je serai sûre que leur plaisir est dépourvu de tout masochisme...
J'aime bien que l'on me manipule les seins lorsque je fais l'amour, j'aime même qu'on me les pince violemment et j'aime d'autres choses aussi, mais je ne vais pas vous raconter mes turpitudes...

Il y a une relation évidente entre les mamelons et l'orgasme, au point que l'on croyait au XVIIIe siècle à l'existence d'un nerf les reliant directement aux organes sexuels. Ce nerf n'existe pas, bien sûr, mais bon nombre de femmes (et d'hommes, donc !) trouvent un plaisir extrême à la manipulation brutale des mamelons.

Evidemment, la technique permet de se procurer des satisfactions supplémentaires en gardant les mains libres.

La torture des seins peut s'exercer de différente façon, et notamment par flagellation (au sens large), mais aussi par contact chaud (cire), froid (glaçons) ou urticant (orties) Ces pratiques administrées sur les seins, endroits sensibles s'il en est n'étant pas fondamentalement différentes de ce qu'on peut effectuer sur les autres parties du corps, nous ne nous étendrons pas et nous préférons nous attarder sur les techniques de serrage


La pince à linge est certainement l'ustensile le plus fréquemment employé pour la bonne raison qu'il y en a dans tous les foyers. Signalons tout de suite qu'il faut toujours veiller à ce que les pinces en plastique ne soient pas usées. En effet, il est fréquent qu'elles se coupent juste au-dessus du ressort et je vous défie de retirer une pince dont la partie supérieure vient de se briser, sans vous faire sérieusement mal !

Une méthode astucieuse consiste à utiliser deux pinces en bois mises l'une sur l'autre, perpendiculairement. Il est préférable de limer le renflement des " mâchoires " de la pince transversale. Vous la placez ensuite sur la première, celle qui pince le mamelon et, selon que vous la placiez plus ou moins près de la poitrine, vous pouvez faire varier la pression depuis une pression nulle jusqu'à une pression double de celle d'une seule pince.

Les autres pinces : le choix est vaste, il suffit d'aller en grandes surfaces : nous trouverons des pinces " à torchons " évitez les pinces dites " en huit " peu maniables, et préférez les pinces crocodiles, avec si possible la boucle pivotante. Je vous conseille également les pinces à nappes munis de poids, les " pinces à verres ", répliques miniatures des pinces à linges, les pinces " à sachets " et les pinces à dessins dont on trouve maintenant de très grandes variétés. Sans oublier le porte manteau à pinces qui offre des possibilités intéressantes mais dont l'esthétisme est assez déplorable !

Il faut évidemment tester tout cela, les mâchoires ne doivent pas exercer une pression insoutenable, et bien évidemment ne doivent pas déchirer, un bon moyen de tester est d'appliquer les pinces en question sur l'étroite bande de chair située entre la base du pouce et celle de l'index.

Les gadgets que l'on trouve en sex-shop ont un énorme inconvénient : ils sont chers ! Par contre ils offrent (en principe) toute sécurité. On va trouver outre la pince articulée désormais classique, des minis étaux, serre-joints, et même des mini tapettes à souris. Et puis il y a les pinces-baguettes j'allait les oublier, mais Chanette en parle beaucoup dans sa dernière histoire !
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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