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bdsmfetichoutaouais

Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 16:50
Dans le « play piercing », on utilise de très fines aiguilles pour percer temporairement la peau du partenaire, puis on les retire à la fin de la scène.

Le piercing jeu est une forme quelque peu plus douce de « bloodsports ». A nouveau, la peau du dominé doit être nettoyée et désinfectée et le dominant doit porter des gants en latex. Les aiguilles utilisées sont des aiguilles chirurgicales stériles disponibles dans les magasins de matériel médical ou les magasins de SM de réputation sérieuse. Le dominant pince un peu de peau (la zone juste autour du téton est souvent utilisée), et passe l'aiguille au travers. Les aiguilles ne font pas nécessairement très mal, mais les nerfs vous feront clairement savoir qu'elles sont en place, l'endorphine commence à monter très vite. Après quelques temps, on ôte les aiguilles et on les jette dans un container pour objets coupants, on applique des pansements adhésifs si nécessaire - généralement les trous sont assez petits et se referment immédiatement. Encore une fois, la meilleure manière d'apprendre cette pratique est de se référer à quelqu'un qui sait personnellement comment s'y prendre
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 16:49
La fascination du sang, la douleur ressentie quand la lame tranche la chair, les marques ainsi dessinées comme autant de signes de ralliement, tout cela provoque un plaisir intense et l'indicible sentiment d'appartenir à une élite. Dans le milieu SM, la scarification tend à se pratiquer régulièrement sous différentes mises en scène, par une minorité en quête de sensations fortes où plaisir et douleur se confondent.
Le fait que par cette pratique le sang coule, fait que la scarification reste un monde encore bien à part dans le milieu SM. Beaucoup fantasment sur la douleur, certains d'entres eux éprouvent une excitation plus grande encore à la vue du sang, du leur ou de celui de leur partenaire.
L'expérience de la scarification est fascinante, pour celui qui manie la lame et la voit s'enfoncer dans les chairs de son partenaire, dessinant des lignes, des courbes, des figures celtiques, c'est aussi intense et troublant pour celui qui offre sa peau, sa chair, son corps, à la lame et à son maître. Ces dessins, gravés à jamais, seront comme la preuve indélébile de sa dévotion.
Certains y ajoutent le désir de s’imprégner de métal avec implant et piercing dans des endroits insolites pour ressentir un plaisir différent mais plaisant de cette sensation qui vous prend le corps le temps d’un instant pour laisser place à une certaine satisfaction et d’avoir le plaisir "unique" ou "autre" à sa manière et pour soi.


Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 16:48
Cette modification corporelle entre dans l’univers BDSM, où elle a ses adeptes. La scarification est un acte brutal, tribal et douloureux, pratiqué par une infime partie de la population, et parce qu’il est douloureux, il a longtemps été associé, en Occident, aux sadomasochistes..

Petite histoire

En Afrique centrale et en Côte d'Ivoire, plusieurs peuples se sont, au fil du temps, infligé des coupures sur le visage, le torse ou le dos pour marquer une classe sociale, un statut marital ou l'appartenance à la tribu. Il s'agissait d'un système de communication pour les sociétés analphabètes. Et ces peuples avaient recours à la scarification, car le tatouage paraît beaucoup moins sur une peau noire. La coupure au sang est ensuite frottée avec des produits naturels qui irritent la peau pour obtenir une boursouflure.


Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 16:47
Le motif est préalablement dessiné sur papier avant d’être décalqué sur la partie du corps choisie, le bras en général, ou l’épaule. Le marquage se fait ensuite selon 2 techniques différentes. L’artiste choisit l’une ou l’autre selon le dessin qu’il doit réaliser : soit avec un stylo à cautériser utilisé en dermatologie qui permet un tracé plus fin, soit avec des petites plaques d’acier chauffées à blanc. Si la seconde méthode est retenue, les plaques sont découpées à l’avance en petits morceaux d’après le dessin. L’artiste les chauffe ensuite au chalumeau et les applique sur la peau. Seuls une pratique et un œil expérimenté permettent de juger si le métal est assez chaud et combien de temps il faut le laisser en contact avec la peau. Une brûlure trop importante nuirait autant à la santé du modèle qu’à la beauté du dessin…Inutile de préciser que ces pratiques sont très douloureuses, et cela durant un certain temps. Le branding, par exemple, produit une brûlure au deuxième ou au troisième degré, avec un risque élevé d’infection. En 1979, les adeptes de modifications corporelles on été baptisés primitifs modernes par leur leader, Fakir Musafar. Ce Californien, aujourd'hui âgé de 70 ans, exécute toutes sortes de performances artistiques avec son corps, dont celle de se suspendre à un arbre avec des crochets plantés dans la peau. Le septuagénaire publie aussi Body Art, un magazine consacré aux modifications corporelles. À la fin des années 80, la sortie de Modern Primitives, un livre traitant des modifications corporelles nouvelles comme anciennes, a fait connaître le mouvement aux non-inités.

Mise en Garde:::

Le Branding est une brûlure, au 2e, voire au 3eme degré. N'oubliez pas qu'il faut la traiter comme tel, avec un traitement médiacl adapté. Hygiène, asepsie, tulle gras...


Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 16:46
MotivationsLes actes de marquage actuels semblent reprendre le principe du rite de passage puisqu’ils sont abordés comme une épreuve, notamment par la confrontation à la souffrance physique. Mais l’épreuve tend surtout à devenir une performance. De plus, la dialectique entre individu et groupe laisse place à un cheminement strictement individuel. Il n’y a plus de référence à des aînés, voire même à un groupe. La communication avec l’au-delà n’est plus recherchée, se réduit à une communication avec soi-même, de l’identité vécue à l’identité cherchée.
Le développement actuel des marques corporelles ne suit donc ni la tradition occidentale ni la tradition tribale. Cette démarche obéit en fait à la recherche de la mise en scène de soi à travers le spectacle des relations sociales. Le corps se fait aide-mémoire, support de marques symbolisant des moments clé de l’existence. Il se fait également décoration. Il s’agit ainsi d’élaborer sa singularité et de la rendre manifeste. Cette recherche de soi à travers le regard des autres conduit à investir le corps et surtout à le considérer comme une matière première inachevée qui reste à modeler. Le corps est ainsi l’intermédiaire entre l’individu, la nature, autrui et lui-même. On peut penser que l’on va de plus en plus vers une recherche de l’esthétisme.


Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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