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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:02
L'électricité est utilisée de deux manières en SM : soit, pratique la plus courante, en branchant des électrodes sur le corps du sujet, et en faisant passer dans ces électrodes un courant. En jouant sur l'intensité et la fréquence de ce courant (le plus souvent des impulsions et non un courant continu), on provoque des sensations allant d'un fourmillement à une douleur réelle. Le passage du courant provoque aussi des contractions des muscles touchés.
De nombreux systèmes exploitant ce principe sont en vente, le plus connu étant celui dont la gamme comprend un générateur d'impulsions, mais aussi divers accessoires (cockring, godemichés et plugs).
Lors de l'utilisation de tels systèmes, une attention particulière doit être portée au placement des électrodes : NE JAMAIS FAIRE PASSER DE COURANT AU TRAVERS DU COEUR ! Le coeur est lui-même un système électrique ultrasensible à ce genre de stimulation...

La deuxième manière d'utiliser l'électricité est par contact avec un dispositif produisant une forte électricité statique. Un tel système est par exemple utilisé pour le "Violet Wand", sorte de grosse ampoule qui donne des chocs électriques à qui la touche.
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:01
La séance.

Une séance est un jeu à connotation sexuelle pendant lequel le Dominant impose à sa soumise des épreuves telles que :

Tortures : fouet, cravache, pinces, brûlure, électricité

Humiliation : faire honte, position dégradante, insultes.

Ces épreuves peuvent être basées sur :

L’endurance : pas trop fort mais pendant un temps long.

La résistance : très fort pendant un temps court.

Remarque : pour la plupart des soumises, une séance n’est jamais une véritable punition, même si elle est formulée telle que par le dominant. En effet la plupart, même celles qui le nient farouchement, sont masochistes : elles trouvent dans la douleur et l’humiliation leur excitation et leur plaisir sexuel. De même le dominant, ne lui en déplaise, se range parmi le sadique, il trouve donc son plaisir dans ce qu'il impose à sa partenaire.

Certains masochistes peuvent atteindre l’orgasme uniquement par le seul biais de la douleur sans que le sexe ou le clitoris n’aient été sollicités autrement que par cette douleur.

Il est donc juste de conclure que la plus grande souffrance imposée à un masochiste est le refus de cette douleur :

- Fais-moi mal chéri !

DE LA RESTRICTION

Souvent, les premières expériences de domination sont accompagnées de restrictions de base...

Harnais de cuirs aux chevilles et aux poignets, mais il peut s’agir de menottes en acier ou de bracelets
métalliques rappelant les esclaves de l'époque Médiévales.

Les Jeux de domination sont très variés et les équipements servant à la restriction le sont tout autant.

Les colliers de chiens sont utilisés pour une restriction reliée au dressage ou à l'humiliation physique...

Les harnais sont aussi tous associés au dressage et à la restriction physique. Ils se présentent sous différentes apparences et utilités.

La Momification, inventée par les égyptiens dans les temps préhistoriques et récupérée par quelques adeptes de la restriction est aussi une restriction très valable.
Si cette restriction vous attire, Je vous suggère de visiter La momification


1. Le bandeau sur les yeux augmente l'intensité avec laquelle le soumis devra négocier pour explorer ses plaisirs physiques. Etant privé de la vue, il devra vivre à travers les vibration sensorielles et tout cela de l'intérieur de son corps et par conséquent augmenter son ouïe et la sensibilité corporelle... Il est impératif que le sujet ait une confiance absolue en son Maître car il devra être plus attentif à ce qui se passe autour...

2. Le bâillon sur la bouche est très intéressant car il force le sujet à communiquer d'une façon plus primitive, au moyen des sons... Par conséquent, cela réduit considérablement la communication et force le sujet à faire confiance à son Maître.


3. La muselière pourrait être recommandée avec les rebelles qui mordent ou qui sont privés des plaisirs de la bouche (Manger)

4. Les Bracelets de suspension sont évidement utilisés à cet effet et permettent une suspension adéquate pour les poignets ou les chevilles, ils offrent le confort, la souplesse et la sécurité. Être suspendu par les mains est très dur pour le sujet mais si les pieds touchent le sol, c'est très sécuritaire et offre une éventuelle possibilité de restreindre aux chevilles par une barre d'espacement de 24" ou 36".

5. Le Ligotage, très intéressant pour les possibilités qu'offre la corde...

6. Restriction de la respiration. Cette discipline n'est pas une de mes favorites, mais je vais glisser quelques mots pour vous mettre en garde contre les risques auxquels vous vous exposez si cela vous excite...

La façon sécuritaire est celle qui présente le moins de risques mais les accidents sont fréquents chez les imprudents.

-En fait la restriction des voie respiratoires est une discipline très intense qui demande une prudence et une vigilance Extrême car les risques d'accident pouvant causer de sérieuses lésions au cerveau dues à un manque d'oxygénation sont très élevés.

Le Masque à gaz est, selon MOI, l'outil idéal car il est très facile de l'enlever et offre la vision des yeux par laquelle Je peux garder le contact visuel avec le sujet.

Je vous suggère de visiter la section Le masque à gaz

7. Les restriction mentales sont basées sur l'obligation de respecter une règle prescrite par le Maître... Défense de jouir, d'éjaculer, de bouger, de toucher, de regarder, d'écouter ou d'utiliser une partie du corps. Quelques fois, il peut être intéressant de restreindre l'utilisation de la bouche tout en permettant d'utiliser la langue.

Le feu rouge.
Les gens ne possédant pas l'expérience d'un Maître professionnel utilisent souvent des mots clefs leur permettant de déceler le moindre inconfort ou panique chez le sujet dominé. Par exemple, si vous dites au sujet qui si ça n'allait pas de dire « feu rouge», de cette façon vous éviteriez les risques de mauvaises expériences...
Un Maître ayant de l'expérience n'utilise que très peu ce genre de technique car ils ne perdent jamais le contact visuel avec le sujet sauf s’il est question de restrictions des voie respiratoires ou de restrictions buccales.

Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:00
Les opinions exprimées ici n’engagent que moi et je n’oblige personne à les partager.

Le SM existe. C’est une orientation sexuelle - déviation pour certains - qu’une grande partie d’entre nous porte en eux. Les sondages montrent que 7 à 14% de la population « pratique » alors que 50% est « intéressée ». Il suffit d’observer l’intérêt du public pour les films et livres teintés de cet érotisme sulfureux pour s’en rendre compte. Il y a quelques temps, le SM était considéré comme un problème psychologique, comme l’étaient la masturbation et l’homosexualité.

Le SM n’est pas le fétichisme, le fétichisme substitue un objet à la relation alors que le SM est basé sur la relation. La réussite d’une relation SM nécessite même une excellente communication afin que les aspirations de chacun soient comprises. La relation SM permet d’explorer ses fantasmes et de goûter au risque dans la confiance.

Le SM n’est pas ce que le modèle communément répandu prétend, où le dominant ou sadique fait ce qui lui plaît sans considération pour les aspirations et désirs du soumis ou masochiste. En fait, c’est le soumis ou le masochiste qui détermine jusqu’où peuvent aller les choses. La règle veut que le soumis dispose d’un mot clé qui arrête l’action lorsque ça ne va pas. Il est d’ailleurs bon de discuter lorsque cela se produit afin de déterminer comment faire mieux la prochaine fois. Le SM n’est ni de la colère réprimée ni de la haine, il n’est pas possible de pratiquer le SM avec quelqu’un que l’on n’aime pas.

Le SM n’est pas spécialement dangereux, les activités SM nécessitent même parfois une bonne forme physique... comme dans d’autres ‘sports’, les acteurs doivent savoir ce qu’ils font. L’expérience des participants a sa valeur.

Le SM demande de l’attention, de l’énergie, du temps et de la préparation. Les soirées sexe teintées de quelques coups de martinet ne sont pas du SM, je les appelle les soirées Canada-dry, elles ont le goût, l’apparence, mais il leur manque l’essentiel.

Le SM n’est pas sexiste, le schéma sexiste impose les rôles dominant-soumise en fonction du genre alors que chacun dans le SM peut choisir sa place en fonction de ses goûts et de son caractère ou bien se partager entre les deux rôles, tantôt dominant, tantôt soumis. Le SM n’est pas sectaire non plus, les pratiquants proviennent de tous horizons et le SM se pratique aussi bien entre hétérosexuels, gays que lesbiennes.

Le SM est plus une attitude que des actes. En voyage, le dominant voudra conduire la voiture pour contrôler la situation, alors que le soumis souhaitera conduire pour prendre soin de son dominant. Toute la différence est là.

Le SM peut être ‘joué’ au cours d’une scène avec un inconnu, en permanence avec son partenaire ou plus généralement lorsque l’envie s’en fait sentir en couple ou au cours de soirées entre gens qui s’apprécient.

Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 18:59
Outre le préservatif féminin, il existe aujourd’hui des préservatifs qui permettent d’éviter les allergies au latex : le Crystal (Manix) : le préservatif hypoallergénique en latex déprotéinisé, c’est-à-dire pauvre en protéines de latex naturel et le dernier-né Avanti (Durex) : premier préservatif sans latex mais avec du polyuréthane, le duron.
Pour en savoir plus, lire notre article

Allergie au latex : ayez le bon réflexe ! </html/sante/mag_2001/mag0803/sa_4343_allergie_latex.htm>

Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 18:58
Le virus du Sida n’épargne pas les femmes et un cas de sida sur trois les concernait en 2001. Quelques conseils pour mieux connaître les risques que vous encourez et pour mieux vous prémunir contre la maladie.
1 - Est-il vrai que le Sida atteint davantage les femmes actuellement ? Oui et les chiffres de l’Institut de veille sanitaire sont éloquents. Alors qu’en 1997, il y avait 30 % de femmes parmi les personnes séropositives en 1997, on en compte 40 % en 2001. Parmi les personnes ayant développé la maladie (Sida), on trouvait 1 femme pour 2,8 hommes en 2001 contre 1 femme pour 5 hommes au début des années 1990.
2 - Pourquoi les femmes sont-elles aujourd’hui davantage infectées proportionnellement ? Les femmes sont de plus en plus infectées car beaucoup d’entre elles n’osent pas demander à leur partenaire de porter un préservatif. La voie de contamination hétérosexuelle est aujourd’hui la plus fréquente dans la transmission de l’infection. Elle représentait ainsi la moitié (800 sur 1 600) des nouveaux cas de Sida diagnostiqués en 2001. Par ailleurs, une proportion de plus en plus importante de femmes touchées par le Sida est originaire d’Afrique subsaharienne (36 % des cas féminins en 2001 contre 16 % en 1998) ou des départements d’Outre-mer, d’Haïti (8 % de l’ensemble des cas féminins en 2001 contre 3 % en 1998). Précarité, dépendance socio-économique et tabous favorisent la transmission du Sida chez ces femmes provenant de pays pauvres.
3 - Les femmes sont-elles plus sensibles biologiquement au virus du Sida que les hommes ? Oui. On estime ainsi qu’une femme a 3 à 8 fois plus de risques d’être infectée qu’un homme lors d’un rapport contaminant. Ce qui s’explique par le fait que la surface du vagin est importante, que le col utérin facilite la pénétration du virus et que le sperme contient davantage de particules virales que les sécrétions vaginales. Le danger de transmission existe même en l’absence d’éjaculation du partenaire (coït interrompu), car le VIH est présent dans le liquide séminal et quelques gouttes de ce liquide peuvent être émises pendant le rapport sans que l’on s’en aperçoive. La sodomie expose à un risque de transmission plus élevé que la pénétration vaginale car l’anus est encore plus fragile que le vagin. Durant vos règles, la probabilité d’infection de votre partenaire est augmentée, car le VIH peut se propager non seulement par les sécrétions vaginales mais aussi par le sang.
4 - La fellation est-elle dangereuse ? En fait, la fellation expose à un faible risque de contamination, qui est augmenté en cas d’éjaculation même si l’on n’a pas avalé le sperme. Il est donc conseillé d’utiliser un préservatif. En revanche, la maladie ne peut pas se transmettre par les baisers.
5 - Et le cunnilingus ? Le cunnilingus fait également courir un faible danger de contamination. Pour l’éviter, on peut découper un préservatif dans le sens de la longueur et l’interposer entre la bouche et le sexe de la femme. Si vous utilisez des godemichés ou autres objets érotiques pendant les rapports, pensez aussi à les recouvrir d’un préservatif, notamment si vous avez plusieurs partenaires. Même si le virus du Sida est relativement fragile à l’air libre, il existe un petit danger de transmission.
6 - Comment les femmes peuvent-elles se protéger ? Le moyen de protection traditionnel contre le virus du Sida demeure constitué par le port du préservatif masculin. Attention cependant, celui-ci n’est pas le meilleur moyen de contraception, aussi il est conseillé de lui associer une méthode de contraception efficace telle que la pilule, les implants hormonaux ou le stérilet. A l’inverse, pilule, implants et stérilet n’offrent aucune protection contre le VIH. Pour conserver un plaisir intact et éviter que le préservatif craque, il vaut mieux associer au préservatif un gel à base d’eau. Vous en trouverez dans les supermarchés et en pharmacie. Un tel gel est indispensable en cas de sodomie.
7 - Mon partenaire ne veut pas utiliser un préservatif. Que puis-je faire ? Si votre partenaire ne veut pas mettre de préservatif, ou encore si vous êtes allergique au latex*, vous avez la possibilité d’utiliser un préservatif féminin (Femidom). Ce préservatif en polyuréthane est pré-lubrifié avec un lubrifiant gras et il peut être placé dans le vagin dans les heures précédant les rapports. Il offre une très bonne protection, la probabilité de rupture étant même inférieure à celle du préservatif masculin, mais il doit être renouvelé lors de chaque rapport. Ce préservatif est commercialisé en France depuis 1998 et vendu dans certaines pharmacies. Il peut aussi être commandé sur internet (<HTTP: www.terpan.fr />). Cependant, il possède l’inconvénient d’être assez onéreux (29,32 €uros frais de port inclus, le sachet de 20 préservatifs pour une commande par internet). N’associez pas préservatif féminin et masculin car cela vous exposerait à un risque de rupture et c’est de toute façon inutile, le préservatif féminin étant très fiable seul. En revanche, vous pouvez utiliser un gel à base d’eau avec le préservatif féminin.
8 - Que faut-il faire en cas de rapport non protégé ? Si le rapport date de moins de 48 heures, il est conseillé de consulter un médecin. Celui-ci pourra vous prescrire un traitement antiviral, destiné à éviter l’infection et vous donner une contraception d’urgence pour éviter toute grossesse. Si le rapport est plus ancien, faites un test diagnostique. Vous pouvez pour cela consulter dans un centre de dépistage anonyme et gratuit (liste disponible en consultant Sida Info Service : <HTTP: www.sida-info-service.org />N° Vert : 0 800 840 800 Sachez que durant les 2 semaines qui suivent la contamination, le virus ne peut être décelé.
9 - J’ai une MST. Cela m’expose-t-il à un risque accru de Sida ? Oui, car les maladies sexuellement transmissibles (MST) favorisent la transmission du VIH en irritant la muqueuse vaginale. En cas de MST, le port d’un préservatif est donc plus que jamais recommandé. Par ailleurs, être porteuse d’une MST peut signifier que l’on a des pratiques sexuelles à risque ou de multiples partenaires, ce qui accroît les risques de contamination.
10 - Une femme séropositive peut-elle avoir un bébé ? Un nombre croissant de femmes séropositives choisissent d’avoir un enfant. Le taux de transmission du virus de la maman au bébé s’est d’ailleurs beaucoup abaissé et il ne dépasse pas aujourd’hui 5 %, grâce aux nouveaux traitements pris pendant la grossesse et au moment de l’accouchement. Dans les pays développés, on conseille toutefois aux femmes séropositives de ne pas allaiter leur enfant car le virus peut se transmettre par le lait
Ref Dr Corinne Tutin
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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