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bdsmfetichoutaouais

Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:23
Contrairement à d'autres accessoires (orties, bougies…) les glaçons sont d'une apparition récente dans les relations SM ! La raison en est toute simple, le réfrigérateur est une invention moderne et sa banalisation l'est encore davantage.
On manque donc d'un certain historique, mais qu'importe ! Cela n'a pas empêché les classificateurs invétérés d'en cataloguer les amateurs dénommés désormais cryophiles !

Contrairement aux objets nommés plus haut ; il existe aussi une utilisation non SM du glaçon (non SM mais néanmoins très érotique) sur laquelle il convient de dire deux mots :

La pratique s'appelle la bouche glacée, et consiste simplement à se placer un glaçon dans la bouche, d'attendre quelques instants que le palais se rafraîchisse puis sans le retirer de pratiquer au choix : un french-kiss, une fellation, un cunnilingus, un anulingus, un suçage de seins…. D'une efficacité redoutable !

Mais revenons au SM ! Comment se servir des glaçons ?

Et d'abord cette évidence, un glaçon ça fond, pensez à prévoir une serpillière… de toute façon c'est votre esclave qui épongera non ?

Au passage je déconseille les glaçons en plastique, ces affreuses choses ne restent pas froid assez longtemps et ne permettent pas certaines pratiques très osées dont je parlerais plus loin !

Quelle grosseur ? Evitez les mini glaçons qui fondent trop vite, évitez aussi les icebergs qui en limiteront les possibilités, comme en tout, la bonne mesure est la moyenne. La forme n'a, elle aucune importance.

Comment prendre le glaçon : il y a des gens qui supportent plus ou moins le froid, si cela doit être un " supplice " pour le soumis, il ne faudrait pas non plus que cela en soit un pour le dominateur, alors


- la solution la plus simple est encore de changer de main fréquemment et de faire des pauses
- on peut aussi se protéger avec des gants en latex, mais le froid finira par traverser
- Enfin on peut se servir tout simplement d'une pince à glaçon !

Comment appliquer le glaçon :

Le badigeonnage : C'est ce que je conseille de faire " en début " de séance " Le dominateur prend le glaçon et en parcours le corps du soumis, la peau est à chaque fois non préparée à cette agression et il s'ensuit une impression d'abord ressenti comme désagréable mais qu'on peut vite sublimer. Les parties que l'on peut ainsi toucher sont les cuisses, le ventre, les bras, le cou, les seins, le dos (ah cette impression de froid dans le dos…) les fesses.

Les applications constantes : On choisit un endroit du corps et on applique le glaçon sans le bouger ou en effectuant des déplacements très limités, ou encore en " tamponnant " ! Si le sujet est coucher on va simplement le poser ! Ça ne fait pas grand-chose, passé le premier contact, la peau va finir par s'habituer sauf pour ce qui est des zones érogènes, sexe, tétons et anus où les zones érectiles vont réagir

Cas particulier de l'anus et du vagin : le fin du fin pour ces organes, c'est d'appliquer une pression avec un glaçon devenu de taille moyenne, après une minute de ce traitement (ou plus) on appuie et on fait entrer l'objet dans l'orifice ! Sensation garantie !

Les amateurs d'uro peuvent aussi s'amuser a confectionner des glaçons d'urine… ça change !

Annexe : J'ai eu l'occasion un jour de voir à l'œuvre un glaçon en forme de gode, curieuse je demandais comment on pouvait réaliser ce moulage, on m'expliqua qu'il s'agissait d'un bac avec deux moules épousant chacun la forme d'un demi gode coupé dans le sens de la longueur, il suffisait ensuite de souder les deux morceaux par le froid en les maintenant l'un contre l'autre à l'intérieur du freezer. Je ne vous dis pas l'effet que peut faire ce truc là ! Je n'en ai jamais retrouvé (je n'ai pas trop cherché non plus) La conception devait être artisanale. Mais ne voilà-t-il pas une super bonne idée pour un article de sex-shop!
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:21
Conditions.

Le jeu est avant tout une mise en scène théâtrale, mais les acteurs, afin de ne briser aucunement le charme, s’y laissent entraîner sans mettre en évidence cet aspect ludique. Tout se déroule le plus naturellement du monde. Si vous observez le déroulement d’une séance, vous n’en soupçonnez rien. En un mot comme en cent, tous sont les plus sérieux du monde et chacun connaît et joue son rôle à la perfection. Si cette perfection laissait à désirer, un des partenaires serait déçu, et le jeu chaotique. Il est donc primordial de ne jamais se lancer dans une séance sans savoir ce que l’autre attend, sans connaître son rôle, ses limites.

2. Mise en condition.

Elle consiste principalement à mettre l’ambiance, capitale, et à faire naître en la partenaire l’envie mais également le besoin d’être sous l’emprise de son Maître. Prendre sa soumise sans cette mise en condition, dans une ambiance joviale, bon enfant ou tendresse par exemple, conduirait, à coup sur, à l’échec de la séance, voire même de la relation entre les partenaires.

Le Maître se placera psychologiquement dans un état de supériorité et dans le même temps il placera sa partenaire dans un état d’infériorité. Il lui expliquera pour quelles raisons elle est auprès de lui, il fera naître en elle la honte et le désir de souffrir pour son Maître. Elle se sentira en état d’excitation grandissant lui permettant alors de subir ce qui va lui être imposé.

Passer cette étape serait cruel et sortirait du cadre d’une vraie relation SM où le but final reste le plaisir et l’orgasme sexuel.

3. La séance.

Elle n’est que le résultat d’une mise en commun d’envies et de besoins préalablement discutés entre les partenaires. Le Maître n’imposant à sa soumise que ce qu’elle est capable de supporter. Il arrive néanmoins, principalement dans des relations à long terme, que ce dernier veuille pousser sa soumise au-delà de ses propres limites. Toutefois cela se fera très progressivement, la relation SM entre deux partenaires ne cessant jamais d’évoluer. Un Maître correct n’imposera jamais l’insupportable à sa soumise. Rappelons que le but final reste le plaisir et non le massacre de la soumise. Si elle désire subir quelque tourment nouveau, elle en glissera un mot à son Maître.

Il existe mille et une tortures dans le cadre d’une relation SM, chacun trouvera dans son imagination et dans de la documentation ce qui le mènera à l’orgasme.

4. La relation sexuelle.

Les politiques divergent selon les familles SM, mais la plupart des séances se terminent par une relation sexuelle proprement dite. Parfois avec, parfois sans torture, encore une fois selon le désir de chacun, il n’y a pas de règle, c’est de l’amour finalement.

La relation sexuelle est la conclusion probablement la plus logique afin que chacun y trouve son compte.

La vie hors séance.

Là aussi, cela est très variable d’un couple à l’autre. Certains vivent ensemble avec ou sans enfants, d’autres par contre chacun de leur côté.

Dans les couples vivant sous le même toit, certains appliquent le 24/7, d’autres non. (24H/J et 7J/7) C’est selon la meilleure convenance du couple. Notons que si le 24/7 est possible, il est néanmoins très difficile à mettre en place et surtout à maintenir. Je rappellerai simplement que rien n’est jamais acquis d’une part et qu’une certaine indulgence due à la vie sociale et familiale s’impose. Toutefois dans la majorité des cas, la soumise en présence de son Maître se pliera à quelques règles qui, elles aussi, sont différentes de chacun. Se référer ici aux 12 règles d’or de la soumission. Les règles les plus courantes sont :

- Ne pas croiser les jambes

- Le vouvoiement

- Interdire le port de sous-vêtement

- Interdire les pantalons

- Obliger à un certain langage choisi

- Interdire l’emploi de mots orduriers ou grossiers

- ...

La aussi, il y aura évolution, le Maître voulant obtenir toujours plus de sa soumise et inversement celle-ci désirera aller toujours plus loin dans sa soumission. Il est très important ici que le Maître soit constant, c’est au fond lui qui tient les rennes, en tout cas pour ce rapport là. Il n’est rien de pire que de jouer au pêcheur : lâcher la ligne, ramener la ligne, la relâcher….

En d’autres termes, pour garder le respect de sa soumise le Maître devra toujours aller plus loin dans ses exigences ou du moins, une fois le sommet atteint, s’y maintenir sans jamais régresser. Ce qui sous-entend que celui-ci aura un caractère de gagnant et qu’il pourra s’imposer de lui-même par son assurance.
Et la tendresse dans tout cela ?

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, elle tient une très grande place dans une relation SM bien conduite, il serait fou de l’évincer et conduirait aussi le couple à l’échec. Elle comprend comme dans n’importe quel autre couple des caresses, des attouchements et des baisers. Un des moments les plus importants où la tendresse s'insinue dans la relation SM est au court d’une séance elle-même. Entre une série de coups de cravaches ou de baguette etc.… le Maître caresse doucement la peau qu’il vient de meurtrir. Cela procure à la fois douleur et douceur qui s’en aucun doute vont faire monter la soumise un cran plus haut dans son excitation.

La tendresse montrera aussi sa loi après la séance, comme un moment de repos après un effort intense, mais aussi après une remontrance.

Elle aura également sa place à tout autre moment de la journée où le couple en ressentira le besoin.

Il convient donc de ne jamais oublier, dans le cadre d’une relation SM cette affection dont toute personne a besoin à un moment ou à un autre de sa vie.

La punition.

Ici la façon d’interpréter la chose est très variable selon les couples, selon les habitudes et les envies du Maître.

Certains se montrent très déçus de devoir punir une soumise, ils reçoivent la désobéissance comme un échec et sont frustrés dans leur amour propre. Les punitions sont alors très violentes et ôtent à la soumise l’envie de recommencer. Il va de soi que ce genre de pratiques ne peut se concevoir que face à une faute que je qualifierais de grave puisque aucun plaisir sexuel ne peut en sortir.

D’autres séparent nettement la séance plaisir de la punition et imposent alors à leur partenaire un châtiment qui sera pénible et que là aussi la soumise n’aura aucune envie de recommencer. Dans ce cadre là, le plus souvent les punitions ne sont pas sexuelles mais consistent le plus souvent en des privations ou des humiliations. Les derniers enfin prennent prétexte à une faute, souvent légère, pour punir leur partenaire dans le cadre de la séance. Cela reste alors très ludique et il faut bien garder en tête que la soumise prendra avant tout son plaisir et sautera sur la première occasion pour recommencer à fauter.

C’est à chacun de voir la formule qui lui convient le mieux selon la manière dont il envisage une relation de ce type tout en gardant à l’esprit qu’il n’y a rien de bon, rien de mauvais tant que chacun y trouve son compte.
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:20
Le SM est une déviance sexuelle selon les psychiatres, une autre façon de vivre et de jouir pour ses adhérents. Ce mode de vie est basé sur une hiérarchie où en haut se trouve le dominant, en bas la soumise. Il peut se fixer exclusivement sur la relation sexuelle, le SM est alors la simple réalisation d’envies et de fantasmes avec la pauvreté relationnelle que cela implique, très souvent retrouvée dans le milieu de la prostitution.

Il peut aussi se fixer sur l’existence en général et devient alors une attitude particulière dans la vie de tous les jours, que ce soit en permanence ou de manière intermittente. Le dominant exerce son pouvoir sur la soumise pour se faire obéir et qu’elle réponde à ses attentes personnelles. Le plus souvent, le Maître tentera de corriger les défauts de sa soumise et de l’amener toujours plus loin, non seulement dans sa vie privée mais également dans sa vie professionnelle et sociale. Une soumise est une femme admirable et admirée, ou du moins elle devrait tendre vers cela. Il va de soi, que tant le but et la manière, est le plus souvent le résultat d’une concertation préalable, une sorte de contrat qui peut être simplement oral, voire écrit.

Pour adopter ce genre d’aventure, il est bon d’en avoir envie avant tout, et que cela soit dans les fantasmes des deux partenaires. Je déconseille à quiconque de vouloir se lancer dans cette entreprise particulière si aucune affinité avec les mœurs du divin marquis n'est présente. Cela serait un véritable désastre tant dans le rôle du dominant que dans celui de la soumise.

La vie d’un tel couple est faite de domination d’une part, de jeu Sm d’autre part, sans oublier une domination psychologique qui peut-être plus ou moins forte. Les jeux SM se rassemblent au cours d’une séance, dont le déroulement est décrit ci-après.
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:19
Il m'est impossible d'évoquer le masochisme sans le lier, je commencerais donc par la définition du sado-masochisme.

Le sado-masochisme est la forme combinée du sadisme et du masochisme, dans laquelle la satisfaction est liée à la souffrance ou à l'humiliation. C'est la perversion la plus fréquente et la plus importante de toutes.

Le sadisme est la perversion sexuelle par laquelle une personne ne peut atteindre l'orgasme qu'en faisant souffrir (physiquement ou moralement) l'objet de ses désirs.

Le masochisme est un comportement sexuel déviant par lequel une personne a besoin de ressentir de la douleur pour parvenir à la jouissance sexuelle.

Voilà présenté les deux volets d'une seule et unique perversion fondée sur le désir d'asservissement ou de soumission comme principe de plaisir. Cette pratique peut être jugée comme une déviance pathologique si elle représente le seul moyen pour un individu d'avoir une excitation sexuelle.

La pratique de jeux S.M. peut être un moyen de libérer les tensions et de satisfaire les pulsions sexuelles particulièrement profondes et tenaces. Mais, il existe une réelle perversion sado-masochiste, une déviance, qui a un réel caractère pathologique. Celle-ci peut entraîner des conséquences dramatiques sur la personne jouant le rôle de l'esclave.

Si la satisfaction prend racine dans la douleur employée comme contrainte ou moyen de soumission, on se trouve face à une substitution pathologique de l'acte sexuel. Rappelons brièvement que les pratiques S.M. ne tombent pas sous le coup de la loi, si elles ont lieu entre adultes consentants. En revanche, la loi française prohibe les actes de tortures et de barbaries. Ainsi, tout acte de sadomasochisme sur une personne non consentante ou dont les conséquences physiologiques dépassent le stade du jeu peut être qualifié d'acte de torture ou de barbarie.

Le sado-masochisme peut revêtir un autre aspect, plus ludique. En effet, beaucoup de couples se plaisent à des jeux érotiques de soumission/domination. Ceux-ci sont prédéfinis entre deux partenaires qui se respectent mutuellement et qui hors de leur rapport sont parfaitement égaux l'un vis à vis de l'autre. Une relation S.M. implique deux personnes adultes qui sont mutuellement consentantes et désireuses de vivre cette expérience. Dans ces conditions, cette relation vise à augmenter l'intensité des émotions et des sensations. Le sado-masochisme est ici un jeu. Souvent, les pratiques sado-masochistes sont un moyen d'évacuer une pulsion, dont on ne pourrait se débarrasser autrement. En effet, lorsqu'ils sont bien maîtrisés et s'ils ne perturbent pas l'intégrité physique et la liberté, ces jeux peuvent exorciser l'angoisse et délivrer de certaines tensions.

Léopold Sacher Masoch, écrivain du post romantisme, a donné bien malgrè lui son nom à la pratique sexuelle qui dicta toute sa vie. Il était en effet mort depuis plusieurs années quand Krafft Ebing, évoquant la jouissance sexuelle dans l'humiliation et la douleur, forgea autour de son nom le néologisme "masochisme"


Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 19:18
L'origine du mot est liée à l'oeuvre du marquis de Sade qui dans son oeuvre relata toutes les façons d'infliger douleurs ou humiliations sexuelles à son partenaire.

Classé parmi les conduites sexuelles dites «perverses», le sadisme consiste à rechercher la satisfaction sexuelle en infligeant au partenaire une douleur physique ou morale. Ceci étant cette définition trouve vite ses limites, en particulier dans les relations à la 'victime': si celle ci est consentante, la relation devient équilibrée et sa pratique n'est répréhensible ni par la loi ni par la morale. Dans le cas contraire c'est un crime qui doit être puni.

Il est ainsi regrettable que dans les pratiques SadoMasochistes, un terme ne se soit pas susbtitué à ce terme sadisme qui désigne également les tueurs en série et les bourreaux les plus indignes de la condition humaine.

Freud reprend le terme dans ses Trois Essais sur la théorie de la sexualité (1905)
et fait l'hypothèse d'un sadisme originaire associant la sexualité à la violence exercée
sur autrui. Plus tard, en 1915, dans le cadre de sa première théorie des pulsions
(pulsions sexuelles, pulsions du moi), Freud étend la notion de sadisme au-delà de la
perversion sexuelle et en fait une composante essentielle de la vie pulsionnelle (pulsion d'emprise, pulsion d'agression). Comme toute pulsion, le sadisme peut subir plusieurs destins possibles: soit être retourné dans son contraire, l'agressivité devenant la passivité, soit être retourné contre la personne propre, devenant le masochisme,
soit être sublimé en étant mis au service de grandes causes.

On trouve des manifestations de sadisme hors des conduites sexuelles, notamment chez l'enfant au moment du stade sadique-oral (pulsion de mordre) et du stade sadique-anal (agressivité contre la mère exprimée par la rétention ou l'émission des selles). Cette acception freudienne du sadisme est aussi celle de Melanie Klein.

Dans la deuxième théorie des pulsions, en 1920 (pulsions de vie, pulsions de mort),
le sadisme et l'agressivité, entièrement tournés vers la destruction, appartiennent
à la sphère des pulsions de mort. Le sadisme apparaît alors comme secondaire au masochisme, dont il est indissociable.

Maitresse Lilith
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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