Concours

bdsmfetichoutaouais

Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 16:19
Mais encore ? Avant de passer aux choses sérieuses, voyons un peu plus en détail ce que font les adeptes du BDSM lorsqu’ils se retrouvent entre eux. D’abord, sachez qu’un sadique ne ferait jamais de mal à une mouche. Quoique l’enculage d’icelle – ne me regardez pas comme ça… c’est dans Le Petit Robert -, se pratique à grande échelle entre disciples du Marquis, notamment lorsqu’il s’agit de négocier limites et contrats (tous les détails plus loin). Quant aux masochistes, j’en connais qui sont relativement douillets, au point de prendre des aspirines lorsqu’ils ont mal à la tête et on m’a affirmé qu’il y en avait même qui se faisaient anesthésier avant une opération chirurgicale. Conclusion, si l’on mêle douleur et plaisir, c’est uniquement dans le contexte de jeux érotiques. Selon les grands théoriciens de la question, tous les adultes ou presque ont un jour ou l’autre fantasmé sur un thème BDSM – jeune fille innocente enlevée, torturée et violée dans un donjon par un beau soldat lors d’une rapine, personne poussée à des extrêmes par un seigneur injuste, etc. Si l’on en croit certains sondages réalisés ici et outre-Atlantique, 12 % des 20/24 ans du sexe dit «faible» se feraient attacher avec plaisir pendant les rapports sexuels, et plus de la moitié aimerait essayer au moins une fois. Il paraîtrait que 49 % des Américaines auraient des fantasmes de soumise et que 14% des Américains et 11% des Américaines (encore elles) auraient déjà eu une expérience sadomasochiste ou plus. Le BDSM permet aux plus téméraires d’explorer de plein gré ces fantasmes, de façon contrôlée et dans un environnement ne présentant aucun danger. Ils se parlent de ces aspects de leur personnalité et, ensemble, mettent au point des scénarios pour passer du rêve à la réalité.
Ref:par Satanique
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 16:16
Pour qu'une telle aventure puisse être viable, elle doit s'appuyer sur des règles de base. Nous comprenons parfaitement que chaque couple est différent et que chaque relation B&D est différente. Cependant, des règles de base existent, au-delà desquelles vous êtes hors-jeu de ce qui est considéré comme étant du B&D. Chaque couple aura son propre règlement. Je pense néanmmoins que quelques principes sont universels.

* Aucune blessure ne doit-être infligée au soumis. Cela ne signifie pas que les fessées, la discipline et les corrections n'existent pas. Elles doivent simplement être calculées de façon à ne pas infliger de blessures, physiques ou mentales, durables au soumis. En B&D, la souffrance est parfois utilisée pour corriger le comportement. Elle n'est en aucun cas le point central de la relation.

* Agrément préalable des limites. Il s'agit simplement de se mettre d'accord sur ce que chacun fera ou ne fera pas. Ces limites varient d'un couple à l'autre. Cet accord préalable place simplement les frontières de la relation. Il est primordial de discuter honnêtement, librement, des limites que chacun a souhaité placer avant d'entâmer une relation B&D. Ces limites ne seront pas transgressées sans, au moins, une discussion préalable. Ces frontières évoluent au fur et à mesure de l'évolution de la relation.

* Le soumis devrait disposer d'un " mot-clé " lui permettant de stopper l'activité en cours. Ce mot-clé doit être comprit par les deux parties comme nécessitant l'arrêt de l'action. Cet arrêt peut être le fait du soumis en cas de grande souffrance, ou de la Domina pour clarifier une situation risquant de dépasser les limites fixées. B&D est supposé apporter du plaisir aux deux parties. Limites et mot-clé sont les garanties que la situation reste sous contrôle des deux parties. Si la Domina décide qu'une pause est nécessaire, et que cela pose un problème majeur à la soumise, le mot-clé sera utilisé pour éviter à la Domina de faire une interprétation erronée de la volonté du soumis. Cela ne signifie pas que la nouvelle séance de fouet n'aura pas lieu. Mais que la Domina aura l'opportunité de prendre en compte l'opinion du soumis avant de continuer.



La communication entre la Domina et le soumis est essentielle dans la réussite de la relation B&D. Le soumis doit accepter de parler de ses sensations et la Domina doit y être réceptif. La Domina doit également être attentive aux signes non verbaux que peut donner le soumis. Pour une relation satisfaisante, il est utile d'avoir des affinités sous-jacentes avec le (la) partenaire. La Domina essaie de mener le soumis à la perfection de ce que la soumission doit-être. Le soumis doit accepter ce but. Si l'un de ces points n'existe pas, la relation B&D se dégradera très rapidement en une relation abusive, ou alors les deux partenaires se sépareront, insatisfaits.

Le B&D a pour but l'épanouissement des deux partenaires. Frontières et mot-clés permettent de s'assurer du respect de ce principe. Ils ne constituent en aucune façon un renoncement aux principes d'obéissance. Avec le temps, l'utilisation des frontières et des mots-clés peuvent s'estomper, cependant, bien des couples exprimentés continuent de les utiliser.

Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 16:15
Pour le reste, si j’analyse un peu ce qu’il m’est donné de percevoir de la domination, il ne s’agit après tout que d’une histoire de pouvoir.

Le pouvoir peut-être exercé de manière dictatoriale ou de façon éclairée. Je parle ici en règle générale.



Je ne puis parler des raisons profondes et probablement inconscientes au départ qui amènent une personne à faire ce choix de désirer exercer ce pouvoir de façon érotique, sur le corps et sur l’âme d’une autre, n’ayant pour moi, jamais « joué », comme on dit, « de ce côté là du manche ». J'ignore tout autant ce que peut être le vécu émotionnel d'un Dominateur, son ressenti, lorsqu'il "pratique". Je suis en revanche persuadée qu’il s’agit encore et toujours d’une autre forme de l’amour. Pour paraphraser Henry Miller qui écrivait « Peindre, c’est aimer à nouveau », j’oserai ici écrire « Dominer, c’est aimer à nouveau. ». D'une façon autre, certes, mais aimer tout de même. Je n'ai aucun doute là dessus.



En BDSM, selon moi, le Dominant, le vrai, fait partie de ceux qui exercent le pouvoir en se plaçant dans la seconde catégorie, c’est à dire de façon éclairée. N’oublions jamais qu’il ne reçoit son pouvoir que de la personne qu’il domine. Si celle-ci ne consentait pas à se « confier », alors il n’y aurait pas de Dominateur.

Beaucoup oublient cela dans notre milieu.

Ces prétendus « Maîtres » fréquentent seuls les soirées publiques organisées, la cravache, le martinet et les menottes suspendus à la ceinture d’un pantalon de cuir lisse. Ils ne font rien, se contentent d’assister, espérant tomber sur un couple à la recherche de pluralité et donc de « profiter » ainsi de la soumise des autres. Ce sont les plus hardis et les plus bavards sur les chats : lorsqu’ils vous contactent, ils demandent à être appelés « Maître » dès le premier message, usent du «tu » et exigent le « Vous ».

Ils ont tout mélangé, tout confondu et croient qu’il suffit de s’autoproclamer pour être.

Ah ! Le milieu BDSM et son cortège d’apparences, éternel miroir aux alouettes !



Heureusement, les « alouettes » ne sont pas « sans tête » !

Passées les erreurs des premières expériences, on finit par savoir ce qu’est un véritable dominant et ce à quoi on peut le reconnaître : c’est celui qui aura la galante distance de ne pas vous impliquer immédiatement dans une relation et qui vous laissera venir à lui par étapes.

Il prendra son temps d’écoute attentive et vous devinera jusque dans vos méandres. L’exceptionnelle qualité des vrais dominants est sans doute leur intuition et leur capacité à mettre en place la relation dont ils « tireront les fils » mais à partir de la perception qu’ils ont eue de l’autre. Ainsi, la relation D/s qui s’établira sera satisfaisante d’emblée pour les deux.

Le Dominant dominera, la soumise se soumettra mais sur un terrain fertile puisque appartenant au monde « intérieur » (la cérébralité) des deux.

Le vrai Dominateur ne programme rien à l’avance, il suit, il accompagne l’évolution de sa soumise. Il guide cette évolution, il la contrôle sans neutralité mais toujours avec bienveillance. Plus qu’imposer, il propose et fait en sorte que l’autre accepte sa proposition : il y a là tout un processus de conditionnement mental mais qui est sans aucun abus puisqu’il repose sur le consentement. Jamais un vrai Dominant ne forcera quelqu’un (e) à dépasser des limites au nom de son propre plaisir à lui et à lui seul : il amènera la soumise à les franchir parce qu’il aura pressenti que c’est une barrière qu’elle peut passer et même qu’elle veut passer…



Et puis, demeure la tendresse qui accompagne aussi toujours les actes du vrai Dominant et le sens de l’humour et le nécessaire recul. Mon Amour, M., est comme ça…



Pour conclure, les synonymes que je vous épargnerai : Dominant, Maître, Seigneur, Mentor et Guide.

Le dernier, vous le savez depuis longtemps, est de loin celui que je préfère quand je parle de mon Amour…

ref Aurora

Je le publies car elle dit tout Haut ce que je pense moi meme
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 16:14
Le BDSM est d’abord et avant tout un échange de pouvoir entre une personne qui domine - le Dominant ou le Maître -, et une autre qui se soumet - la soumise ou l’esclave. (Pour faciliter la lecture de cet article, je mettrai le Dominant au masculin et la soumise au féminin.). Remarquez que dans ce milieu, il existe des gais, des couples, des femmes qui dominent, des hommes qui se soumettent et d’autres qui parfois dominent, parfois se soumettent. Le Maître et son esclave sont en fait un dominant et sa soumise qui font du BDSM à plein temps – ils ne limitent pas leurs activités à la chambre à coucher ou au donjon. Le BDSM englobe bien des choses, depuis la fessée anodine jusqu’à l’esclavage (volontaire), en passant par le fouet, les jeux de rôle (le médecin et son infirmière, la maîtresse d’école et le vilain petit garçon), le piercing, le bondage japonais et autres sévices raffinés avec, toujours, l’érotisme en toile de fond. Le BDSM commence à sortir un peu de l’ombre grâce (ou à cause) d’Internet. Pour vous donner une idée, en février 2001, j’ai fait une recherche dans www.google.com en entrant BDSM et j’ai obtenu 1 280 000 résultats en 0,03 seconde. Aujourd'hui, la même recherche donne (vous êtes assis ?) 5 070 000 résultats en 0,28 seconde ! Qui oserait nier l’influence du Net sur les mœurs du genre humain après ça ? Dans le cas de «bondage», c’est encore pire (ou mieux) : 2 980 000 résultats en 0,07 seconde en février 2001 et 19 100 000 en 0,37 seconde aujourd'hui. «Fétichisme» (fixation sur des trucs qui n’ont habituellement aucune signification érotique, comme une vieille paire de savates ou une carte postale), donne 174 000 résultats en 0,07 seconde. Et on veut nous interdire de nous aimer! Un tel engouement n’est pas sans danger. Ce n’est pas parce que le Net permet de trouver un partenaire que l’on peut s’improviser bourreau du jour au lendemain.
Ref:par Satanique
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 16:13
Maître et dominateur Le Maître et le dominateur sont, en apparence du moins, ceux qui dans une relation BDSM décident de tout. Si à première vue les deux dénominations semblent équivalentes, au point d’être souvent employées l’une pour l’autre, celles-ci désignent des approches très différentes de la relation BDSM. Le dominateur, ou son équivalent anglo-saxon top, fait, ne serait-ce que d’un point de vue étymologique, référence à la position supérieure qu’il occupe dans la relation. Il n’y a pas dans l’appellation de Dominateur de connotations ni d’appartenance ni d’enseignement Cette position dominante n’est pas immanente mais est la reconnaissance par la soumise des qualités supérieures du Dominateur. Celui-ci doit être fort, non évidemment au sens physique, mais par son aptitude à percevoir les désirs réels de la soumise, par sa force de caractère et son aptitude à la diriger. Par cette force il se place en protecteur naturel de la soumise et acquiert son respect. Le dominateur est un juste, capable à la fois d’être dur et inflexible, lorsque, la soumise ayant failli à ses devoirs, il est contraint de la punir, mais doux et tendre lorsque la soumise mérite récompense et tendresse. C’est ainsi que le Dominateur gagnera la confiance et l’affection de la soumise. C’est parce qu’il est respectable et respectueux que le Dominateur se positionne en supérieur, nul besoin pour lui, donc, de dégrader et de rabaisser la soumise pour la mettre en position d’infériorité. On est loin de l’image que donnent certains tristes sires, en mal d’existence, portant haut la majuscule sur certains chats abordant les soumises par de méprisants « à genoux chienne » ou autres incongruités, qui ne sont, eux que de pauvres avortons tout juste bons à servir de paillasson à celles qu’ils prétendent dominer. Le mot Maître en français a pour origine étymologique le magister latin, celui qui enseigne, le Maître est alors celui qui enseigne et guide l’élève. Les siècles ont rajouté aux pouvoirs du maître la notion de propriété, que ce soit le « maître de maison » ou le « maître des esclaves ». Ainsi en BDSM le Maître est celui qui possède et guide la soumise. Certes comme le Dominateur, dont il possède les qualités, il est en position supérieure, mais son rôle est plus complexe. En acceptant la soumise qui se donne à lui corps et âme il la reçoit comme son bien le plus précieux et ses devoirs vis-à-vis d’elle sont à la hauteur de cet engagement. Encore plus que le Dominateur le Maître doit protection à celle qui en se donnant à lui perd toutes défenses. C’est à lui de veiller sur le bien-être et l’épanouissement de celle qui a abdiqué sa liberté pour le servir et veiller à son plaisir. Mais c’est dans son rôle de guide, de Pygmalion, que le Maître prend toute sa noblesse. Certes c’est au Maître d’enseigner à la soumise l’art de le servir et de lui plaire. Mais son rôle ne se limite pas à cela, c’est à lui de mettre à jour ses désirs les plus inavoués, de l’aider à chasser ses démons, de la guider pour qu’elle devienne une femme fière et épanouie assumant totalement sa nature profonde. Ceux qui s’approchent du BDSM, croyant que le rôle du Maître est de dégrader sa soumise au point d’en faire un gastéropode qui rampe en bavouillant à leurs pieds et qui rêvent de trouver là un « coup facile » à qui ils pourront faire gober tout et surtout n’importe quoi afin de cacher leur médiocrité se fourvoient totalement et auraient meilleur temps de s’acheter une poupée gonflable.

Maitresse Lilith
meme si tout es au Terme masculin .Je crois que Tous et Toutes savent que Ceci va aussi Bien au Maitresses et Dominantes !
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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