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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 16:23

L’humiliation n'est pas toujours bien acceptées et compris. Elle trouve tout son sens dans les relations dites de Domination/soumission. Le sujet soumis offre son orgueil à son Maître(sse). Le sujet humilié ne doit pas être livré à lui-même. Il doit être accompagné dans le mouvement qui l’abaisse comme dans celui qui le redresse et le relève.

L'humiliation ne signifie pas de mépriser ou insulter son sujet soumis. L'humiliation doit permettre au sujet de devenir plus fort et d'étaler toute sa fierté. Quant au Maître (ou la Maîtresse), il (elle) devra toujours montré beaucoup de respect et de fierté suite aux outrages que son sujet aura subit.

Règles à rspecter :

Une soumise humiliée ne peut l’être d’une façon qui porte atteinte à son statut familial, social ou professionnel.
L’humiliation ne prendre comme thème une caractéristique physique mal assumée par le sujet, ou lorsque c’est le cas, l’humiliation vécue doit lui permettre, de remettre radicalement en cause de tels « complexes ».
Le public, éventuellement présent, lors de ces outrages doit être consentant et averti.
Le sujet humilié doit être sûr du respect de son Maître (sa Maîtresse) au sortir de son épreuve.
Le sujet ne doit pas se sentir « dégradé » , le sujet « humilié » doit se sentir plus beau et plus fort après les outrages. Il doit sentir que votre objectif n’est pas de l’avilir mais de le magnifier.
Un sujet soumis ne devrait être humilié que dans le cadre d’une relation de confiance, durable, amoureuse ou non.

Les jeux d'enfermement sont nombreux et variés.

Il s'agit de contraindre la personne soumise, en la gardant enfermée dans un lieu plus ou moins grand, prisonnière, les sens amoindris. Il s'agit avant tout de jeux de prisons et de prisonniers, mais l'enfermement peut également être réalisé dans des housses hermétiques, des cercueils, des combinaisons etc.

Les effets ressentis sont multiples et varient d'un enfermement à l'autre. Ce qui reste commun c'est la privation de liberté, qui, à la différence du bondage, peut être longue voire très longue. En effet, sauf exception, ces enfermements ne sont pas dangereux, du moins physiquement. Ils peuvent provoquer des troubles psychiques graves, troubles dus à l'isolation, à la terreur, à l'absence de vue, de toucher, ou même de bruit.

Ils sont très utiles pour mettre la personne soumise dans un état de dépendance mais aussi de soumission. Les cachots ne sont pas utilisés pour rien en régime carcéral! l'enfermement est alors utilisé suivant un protocole régissant les heures de lumières, les conditions de nourriture et de boisson, la satisfaction des besoins naturels, les sévices et supplices que la personne enfermée devra subir. Notons que l'enfermement de deux personnes rend l'expérience beaucoup plus facile à supporter.

L'enfermement le plus ludique est sûrement dans une cage d'oiseau, mais il peut devenir difficile à supporter longtemps si la cage est étroite. Le plus difficile peut être d'être enfermée dans un trou sous terre, ou dans une combinaison ne laissant aucun geste possible.

Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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