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En définitive, si la soumise a un certain nombre de devoirs, comme il a été dit plushaut, elle possède en contrepartie deux droits :

Celui de choisir son Seigneur et Maître. Elle se doit d'être convaincue de la pertinence de son choix, et avoir la ferme conviction que le Seigneur et Maître répondra ses besoins de soumission en lui apportant les préceptes de la soumission dans un souci de bien-être mutuels, lui assurera la protection et la sécurité que requiert le don de sa soumission.

Celui de cesser toutes relations avec son Seigneur et Maître, si celui-ci ne répond pas (ou plus) ses attentes et besoins, ou pour toutes raisons sérieuses, et de le faire savoir dans une lettre dans laquelle elle pourra argumenter son inconfort et/ou les griefs.

Il ne peut pas y avoir de domination réelle, si le Seigneur et Maître et sa soumise ne conçoivent pas comme bases de leur relation les éléments suivants :

- la complicité
- la franchise
- le respect
- la bienséance
- la sincérité
- le respect de l'autre

Tans et aussi longtemps qui il aura des Agneaux Il Existerera des Loups, Alors Soyez Alertes