Concours

Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 10:07
Le dictionnaire Larousse définit le terme « abuser » de la façon suivante : « faire un usage mauvais ou excessif de quelque chose - tromper quelqu'un en profitant de sa complaisance ou de sa crédulité » ; le dictionnaire Oxford définit pour sa part le terme anglais « abuse » comme suit : « traiter (quelqu'un) cruellement ou avec violence - (lui) parler de façon insultante et offensante ».

Des approximations conservatrices évaluent qu'il y aurait annuellement environ un million de femmes qui sont victimes de violence, sans conséquence fatale, de la part d'une personne qu'elles connaissent intimement.

Presque une femme sur trois sera assaillie physiquement au moins une fois, pendant sa vie d'adulte.

Comment reconnaître la violence conjugale ?

La violence conjugale peut se manifester de différentes façons ; en voici des exemples. La victime peut :




¨ être battue, frappée, menacée ;
¨ être forcée de se soumettre à des actes sexuels ;
¨ être isolée de sa famille et de ses amis ;
¨ devoir constamment subvenir financièrement à l'autre ;
¨ devoir constamment surveiller ce qu'elle dit ;
¨ se sentir totalement dévalorisée ;
¨ être blâmée pour toutes les malchances de l'autre ;
¨ faire l'objet d'une jalousie extrême ;
¨ devoir subir des crises inappropriées ;
¨ se faire interrompre lorsqu'elle parle, se faire menacer, faire l'objet de propos injurieux.


(Note : un ou plusieurs des comportements abusifs ci-haut mentionnés peuvent être présents dans une relation entachée de violence conjugale.)
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 10:06
Le S/m est fondé sur les principes suivants : SANS DANGER, SAIN et DE CONSENTEMENT
Abuser de quelqu'un NE SE FAIT PAS après avoir négocié.

¨ Le S/m s'exerce dans un environnement sous contrôle.
Abuser de quelqu'un, ça se passe dans un environnement hors de contrôle.

¨ Le S/m utilise des termes garde-fous pour arrêter le jeu.
Lorsqu'on abuse de quelqu'un, on n'utilise pas de safewords
¨ Dans le S/m, la personne dominante porte attention au bien-être de la personne soumise.
Les abuseurs ne s'intéressent pas au bien-être de leur victime.

¨ Dans le S/m, les deux partenaires apprécient les échanges.
Dans les situations d'abus, personne n'apprécie les échanges.

¨ Le S/m est fondé sur la confiance
Dans les relations d'abus, il n'y a pas de confiance.

¨ Le S/m augmente l'estime de soi.
Abuser de quelqu'un, ça détruit l'estime de soi de la victime.

¨ Le S/m aide à bâtir l'esprit de la personne soumise.
Un abuseur détruit l'esprit de la victime.

¨ Dans le S/m, il y a un respect mutuel.
Dans les relations d'abus, il n'y a pas de respect.
Quelques pensées en terminant:

¨ Souvenez-vous de ceci : PERSONNE n'a le droit d'abuser de vous.
¨ Vous n'êtes pas responsable de la violence que vous subissez.
¨ De plus, vous n'êtes pas seule. Adressez-vous à des groupes d'entraide ou à quelqu'un avec qui vous pourrez discuter de la situation et qui pourra vous conseiller.
¨ Informez-vous au sujet des maisons de refuge.

Si vous êtes une femme soumise, ou un homme soumis, confronté à une situation abusive, souvenez-vous que ce n'est pas de votre faute ! Vous avez fait preuve de confiance envers l'autre et vous lui avez avoué votre désir d'être soumis ; ce qui s'en est suivi, c'est que tant votre confiance que votre corps ont fait l'objet d'abus. Vous méritez d'être aidé et supporté. Et vous avez le droit d'être respecté.



«Si vous devenez malade, la joie diminue, mais pas la douleur.
Si vous êtes bien, la douleur diminue et la joie demeure.»
-Benjamin Franklin
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 10:04

7 pilliers de la Domination


Un Dominant est un régisseur, mais jamais un tyran
Mais régir demande de la compréhension, et la compréhension demande de l'humilité.


Un Dominant a de la fierté, mais jamais de l'arrogance.
Mais le respect demande de la sérénité et la sérénité demandent de l'humilité.


Un Dominant exige le respect, mais jamais la peur.
Mais le respect demande de la sérénité et la sérénité demande de l'humilité.


Un Dominant utilise la fermeté pas la force.
Mais la fermeté nécessite de la connaissance et le connaissance de d'humilité.


Un Dominant blâme, mais jamais ne ridiculise.
Mais blâmer demande de la perspicacité et le perspicacité demande de l’humilité.


Un Dominant reçoit, mais ne prend jamais.
Mais recevoir demande de donner et donner demande de l'humilité.


Un Dominant fignole, mais n'essaie jamais de modifier.
Mais pour fignoler, on doit être capable de voir ce qui est là, pas ce qui manque, et cela plus que toute demande de l'humilité.

Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 09:59
Tirer d’un livre écrit originalement en anglais, par Diane Vera, intitulé " The lesbian S/M safety manual " édité par Pat Califia de Lace/Alyson Press, Boston, 1988, réimprimer en 1990

A l’intérieur de la subculture S et M, plusieurs personnes utilisent les mots " soumis(e) " et " esclave ". pour décrire plusieurs différents concepts. Quand un(e) soumis(e) dit : " Je veux être ton esclave! " quelques fois il (elle) veut juste dire, qu’il (elle) veut être attaché(e), baillonné(e), et fouetté(e). Plusieurs dominantes professionnelles font référence à leurs " pas si soumis que ça " client sous le terme " d’esclaves ". Àl’autre extrémité, il y a des gens qui souhaitent devenir des " servants(es) " personnel, propriété(e) d’un(e) Maître(sse) , et dont l’unique but de leur existence, est d’existé pour leur Maître(sse) pour son plaisir et le servir. Entre ces deux extrêmes, il y a plusieurs nuances de " soumission ".

1. LE(LA) MASOCHISTE NON SOUMIS(E) OU LE(LA) FETICHISTE SENSUEL(LE) : Non intéressé(e) par la servitude, l’humiliation ou de " donner " le contrôle à autrui; il (elle) est intéressé(e) seulement par la douleur et/ou une sensualité plus " épicée " , toujours sous son propre contrôle et terme, pour son plaisir personnel. (Désir de recevoir seulement que des sensations corporelles et nullement intéressé(e) d’être utilisé pour servir un partenaire aux besoins " sadique ")

2. LE(LA) PSEUDO SOUMIS(E), NON ESCLAVE : Non intéressé(e) de " jouer à l’esclave ", mais intéresser au autre rôle de soumission, comme les scènes de professeur d’école, infantilisme, travestisme forcé. Souvent intéressé(e) par l’humiliation, mais non de servir un(e) Maître(sse) même en jeu. Va largement décider du jeu et des règles.

3. LE(LA) PSEUDO SOUMIS(E), ESCLAVE PAR JEU: Aime " jouer " à l’esclave. Aime se sentir soumis(e) et servir un(e) Maître(sse) et dans certains cas, aime être utilisé pour satisfaire son partenaire aux besoins sadiques, mais dans tout les cas, sous ses propres termes et conditions. Dicte largement le déroulement de la scène. Souvent des adeptes fétichistes comme par exemple les admirateurs de pieds(foot fetish).

4. LE(LA) VRAI(E) SOUMIS(E), NON ESCLAVE: Donne le contrôle à son partenaire (d’une façon temporaire et sous certaines limites négociées). Trouve sa satisfaction dans les aspects de la soumission autre, que de servir ou d’être utilisé(e) par un(e) Maître(sse). Excité(e) par le suspense, la vulnérabilité et/ou de donner la responsabilité à son partenaire. Ne contrôle pas ou très peu la scène, excepté dans les détails larges, mais recherche son plaisir direct (contrairement d’avoir du plaisir de plaire au dominant).

5. LE(LA) VRAI(E) SOUMIS(E), ESCLAVE PAR JEU: Donne le contrôle à son partenaire (d’une façon temporaire et durant certaines scènes, d’une façon brève et sous certaines limites négociées.) Trouve sa satisfaction de servir et d’être utilisé(e) par son(sa) dominant(e), mais seulement pour le plaisir, souvent érotique. Peu aimé ou non, la douleur. Si aime la douleur, l’aime d’une façon indirecte (être utilisé(e) par un(e) partenaire aux besoins sadiques et le(la) soumis(e) met peu de limites à cet aspect de la scène).

6. ESCLAVE COURT TERME, SANS SE COMETTRE MAIS PLUS QU'UN JEU SOUMIS(E): Donne le contrôle à son partenaire (normalement sous certaines limites et restrictions), pour servir et être utilisé par le dominant, pour des occasions aussi bien érotiques que non érotiques, mais seulement quand le(la) soumis(e) en a envie. Peu également devenir esclave " à plein temps " mais pour une période déterminée comme par exemple plusieurs jours, mais peu décider d’arrêter quand il (elle) le veut. Peu avoir ou pas, une relation à long terme avec un(e) Maître(sse), sauf que le(la) soumis(e) a le dernier mot pour quand il(elle) va servir son Maître(sse)

7. A TEMPS PARTIEL, CONSENSUEL MAIS VRAI(E) ESCLAVE: A une relation avec un(e) Maître(sse) et se considère propriété du (de la) Maître(sse) en tout temps. Veux obéir et satisfaire le(la) Maître(sse) autant dans les activités quotidiennes non érotiques qu’érotiques. Va souvent consacrer de son temps à d’autre activité tel que le travaille, mais son(sa) Maître aura le premier choix sur son temps libre.

8. ESCLAVE A TEMPS PLEIN, CONSENSUEL: À part de quelques règles de base, et limite, l’esclave considère d’exister seulement pour le plaisir et le bien-être du(de la) dominant(e). Par contre, l’esclave va exiger d’être considéré(e) comme la plus grande possession de son(sa) dominant(e). Sa situation étant pas très différente de la situation traditionnelle de la femme au foyer, excepté que dans la philosophie S et M, sa position est consensuelle. Ce qui est encore plus vrai, si l’esclave est mâle. Àl’intérieur de la philosophie S et M, un esclave va entrer dans une relation avec un(e) dominant(e), après avoir considéré(e) avec soin cette relation, à cause de la magnitude du don de soi, et du pouvoir donner au dominant(e). L’esclave est aussi encore plus conscient des dangers de ce type de relation, et va y entrer après entente extrêmement claire et précise, plus encore, du type d’entente que peut précéder un mariage.

9. ESCLAVE TOTAL(E), CONSENSUEL ET SANS LIMITES: Une fantaisie idéale, qui n’existe probablement pas dans la réalité. (Excepté pour certain type de religions ou sectes, ou le consentement est induis par lavement de cerveau., donc pas consensuel.) Certains puristes S et M vont dirent qu'un(e) esclave n’est pas un esclave, si il(elle) n’est pas prêt à faire N’IMPORTE quoi qui peut lui avoir été ordonné(e), par son(sa) dominant(e). L’auteure de ses lignes a rencontré des gens qui se disent esclaves sans limites, mais l’auteure a ses raisons de douter de la véracité de ces affirmations.
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 09:56
BDSM est un mot qui décrit trois aspects, mais qui sont souvent mêlé dans les différents aspects de la sexualité qui sont; Bondage et Discipline (BD), Dominant et Soumis (DS) et finalement Sadisme et Masochisme (SM)

BDSM est une orientation sexuelle, qui, historiquement, a été perçue par les psychologues, comme un désordre mental de la même façon que l’homosexualité et la masturbation étaient perçues. Aujourd’hui, l’étiquette « désordre mental » a été enlevée et les études démontrent, qu’une partie significative de la population (selon certaines études, près de 17 pour cent de la population) pratique une forme ou un autre de la BDSM et que, 58 pour cent d’entre eux, ont des intérêts BDSM.

Contrairement à la croyance populaire, BDSM n’est ni sexiste ou dégradant. Sexiste, par définition, impose un rôle de domination et de soumission, avec les sentiments selon le genre des personnes. Dans la philosophie BDSM, ces rôles et sentiments, sont choisi d’une façon consensuelle, librement. Il y a une honnêteté en BDSM, une ouverture à propos des besoins intérieurs qui dépasse le genre des participants.

BDSM n’est pas non plus un fétichisme. Un fétichisme va substituer un objet à la place d’une relation sociale. À cause de la necéssité de la confiance, de la communication et de l’échange de puissance, souvent la BDSM va inclure une relation sociale. La réalité et la relation BDSM vont souvent donner la chance, aux participants d’explorer les fantasmes profonds à tous et chacun.

La croyance populaire est que le partenaire Dominant ou sadiste, fait comme il(elle) l’entend sans jamais s’occuper des besoins, désire ou de la sécurité du (de la)soumis(e) ou partenaire masochiste. Ceci est loin de la réalité et complètement faux! Dans le réel, c’est normalement le(la) soumis(e) ou masochiste qui dicte les limites à ne pas dépasser dans la relation par l’utilisation de ce que l’on appelle le "safeword" et de limites négociés.

La BDSM peut-être dangereuse, certaines activité BDSM ou scène, tel qu’on les appelle, le sont plus que d’autres. C’est la raison, pour laquelle, que la sécurité doit être une réalité impérative dans les jeux. Si en doute, toujours arrêté le jeu et poser des questions, faire des recherches. Jamais prendre de chances Avec la sécurité de quelqu’un. Rappelez-vous, il y a des moments où, vous avez la vie de quelqu’un entre vos mains !

Encore plus important, la BDSM est un choix fait d’une façon individuelle. Il n’y a aucune lois ou règles, qui dicte ce qui est vrai ou faux, à part des réalités de sécurités. En laissant tomber les standards de ce qui est taboo, les participants de la BDSM ont la chance d’expérimenter et d’avoir du plaisir dans une grande variété d’expérience, et de vivre plusieurs de leurs phantasmes érotiques.
Réf -
(Définition de Master Pierre de BDSM_Circle)
Par MaitresseLilith_selena - Publié dans : bdsmfetichoutaouais
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