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Les seuls fabricants étant aux Etats Unis et en Australie il faudra passer par Internet pour en faire la commande. Le signalwhip est le plus couramment choisi, moins puissant qu’un bullwhip, c’est quasiment le seul a pouvoir être utilisé dans un intérieur classique, une longueur de 4 pieds est un bon choix. Un 8 brins sera moins précis mais aussi moitié moins coûteux qu’un 16 brins, le choix est donc très personnel. Les plus réputées sont les 16 brins fabriqués pas Joe Wheeler, ses 24 brins sont de petits bijoux.

Quelques principes de sécurité : Ne pas blesser sa partenaire : Les fouets principalement, les martinets et les chats a 9 queux, n’ont pas qu’un effet sur la peau, plus ceux ci sont lourd plus l’onde de choc se propage sur les tissus et les structures sous jacentes. Il faudra donc se limiter aux parties charnues recouvertes par des tissus musculaires comme le haut du dos, les fesses, la poitrine et les cuisses. Avec les martinets il faudra absolument éviter l’abdomen ( foie et rate ) ainsi que les lombes (reins). Si chez la femme un fouetter légèrement de l’entrecuisse peut être très érotique, chez l’homme on s’expose a des lésions graves testiculaires. Ceux dont la main n’a pas encore une précision parfaite pourront avantageusement faire porter un serre taille a leur partenaire, celui-ci recouvrant justement les zones a éviter. Même si certains experts du single-tail s’autorisent a caresser le visage de leur partenaire ce sont, a moins d’une parfaite maîtrise, des pratiques particulièrement a risque a ne pas imiter. On évitera de frapper au niveau de zones ou les structures osseuses sont saillantes : omoplates, colonne vertébrale par exemple la sensation pouvant être très désagréable. Lorsque vous vous servez du fouet sur plusieurs partenaires n’oubliez pas de désinfecter les lanières (le sang peut s’incruster en profondeur dans le cuir) ou les crackers. Ne pas se blesser : Lors des débuts avec un single-tail il est important de se protéger les yeux et les oreilles des retour malencontreux, il est prudent d’investir dans une visière protégeant les yeux (même pour les porteurs de lunettes), on en trouve de parfaitement adapté dans les grande surfaces de bricolage. Avant de pratiquer dans une pièce il faut s’assurer que le single-tail dans son mouvement ne pourra s’accrocher aucun objet, aucun lustre Non seulement cela abîmerais le cracker mais le risque de recevoir l’objet n’est pas négligeable. Lorsqu’un single touche lors de sa course un objet ou un mur celui-ci a la fâcheuse manie de revenir sur son utilisateur souvent au visage.