le blog bdsmfetichoutaouais
Le SM contient une dimension spectaculaire qui nécessite un costume approprié, un déguisement qui fixe avec précision le statut et le rôle de chacun des protagonistes. Le SM moderne comprend plusieurs types de pratiques : les flagellations à l'aide de cravaches, fouets ou autres martinets; l'insertion d'objets dans les orifices vaginaux, anaux ou buccaux ; les liens qui ont pour but de contraindre et d'immobiliser le soumis ; les rituels d'humiliation et domination au cours desquels le soumis est amené à prendre toutes sortes de positions.
Enfin, dans une forme plus extrême, on inflige au soumis des modifications corporelles temporaires ou permanentes telles que le piercing, les scarifications, ou le tatouage. Le rituel se déroule dans un "Donjon".
L'inversion des rôles érotisées
Dans sa forme "soft", le SM constitue une inversion ludique, contrôlée et temporaire des positions que chacun occupe dans la vie sociale. C'est ainsi que les hommes de pouvoir ont souvent été de grands adeptes du SM passif, dans lequel ils peuvent à loisir occuper la position du dominé. Les femmes remplissent le rôle des dominatrices comme corollaire de leur position sociale inférieure. C'est bien parce que les femmes ont conquis des positions de pouvoir social qu'elles peuvent aussi aujourd'hui occuper la position de la soumise dans les rituels du SM. Dans cette perspective, le SM constitue une sorte de soupape de sécurité où l'on peut jouer à l'autre.
Beaucoup de bruit… pour peu d'adeptes
Mais si l'on parle beaucoup actuellement du SM dans les médias et que la mode a diffusé l'attirail des dominatrices, les pratiquants sont peu nombreux. Il n'existe à Paris que deux clubs qui offrent des donjons aux adeptes de ces jeux ainsi que quelques dizaines de prostituées qui offrent une "thérapie" SM à prix d'or.
Maitresse Lilith
Enfin, dans une forme plus extrême, on inflige au soumis des modifications corporelles temporaires ou permanentes telles que le piercing, les scarifications, ou le tatouage. Le rituel se déroule dans un "Donjon".
L'inversion des rôles érotisées
Dans sa forme "soft", le SM constitue une inversion ludique, contrôlée et temporaire des positions que chacun occupe dans la vie sociale. C'est ainsi que les hommes de pouvoir ont souvent été de grands adeptes du SM passif, dans lequel ils peuvent à loisir occuper la position du dominé. Les femmes remplissent le rôle des dominatrices comme corollaire de leur position sociale inférieure. C'est bien parce que les femmes ont conquis des positions de pouvoir social qu'elles peuvent aussi aujourd'hui occuper la position de la soumise dans les rituels du SM. Dans cette perspective, le SM constitue une sorte de soupape de sécurité où l'on peut jouer à l'autre.
Beaucoup de bruit… pour peu d'adeptes
Mais si l'on parle beaucoup actuellement du SM dans les médias et que la mode a diffusé l'attirail des dominatrices, les pratiquants sont peu nombreux. Il n'existe à Paris que deux clubs qui offrent des donjons aux adeptes de ces jeux ainsi que quelques dizaines de prostituées qui offrent une "thérapie" SM à prix d'or.
Maitresse Lilith
Mer 19 avr 2006
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